Au premier plan de la couverture de ce livre se trouve un garçon qui a un air inquiet. Il occupe la première moitié de la couverture et porte des lunettes de soleil noires, comme pour cacher quelque chose, il semble mystérieux mais est habillé normalement, simplement. A l'arrière-plan, un homme est caché, on peut distinguer son visage et porte un chapeau, mais confusément, car il reste dans l'ombre, pour ne pas se faire voir, ce qui recèle une part de doute. En effet, la première de couverture est partagée en deux zones verticales égales, l'une blanche et l'autre noire, ce qui montre, d'un côté, la naïveté du jeune garçon, et de l'autre, la cruauté dont l'adulte peut faire preuve. Le titre, la collection et le nom de l'auteur sont situés en haut de la première de couverture. Je pense que cette couverture a bien été choisie puisqu'elle illustre correctement l'intrigue de l'histoire et les sentiments qu'ont éprouvés les personnages. Elle a un aspect incitatif pour le lecteur qui, par curiosité, est attiré par l'envie de découvrir les mystères que cache cette couverture.
[...] Il y a également le fait que Daniel mette du temps à se faire accepter parmi les autres avec ses lunettes de soleil et doit faire face aux insultes et aux moqueries, c'est une leçon de vie, pour savoir garder la tête haute dans différentes circonstances et ainsi être plus fort. Cette une épreuve pour Daniel, qui fait face, courageusement, malgré les obstacles qui s'imposent. * Un passage du livre est symbolique: Il avait tenu à accompagner sa mère jusqu'à la porte. [...]
[...] Un tueur à ma porte, Irina Drodz Un tueur à ma porte a été écrit par Irina DROZD et paru pour la première fois en juin 1997 dans le magazine Je bouquine. Ce roman est réellement paru en Autour du livre * Au premier plan de la couverture de ce livre se trouve un garçon qui a un air inquiet. Il occupe la première moitié de la couverture et porte des lunettes de soleil noires, comme pour cacher quelque chose, il semble mystérieux, mais est habillé normalement, simplement. [...]
[...] Il se remet totalement en question et craque, mais uniquement quand personne ne peut le voir, car il remet la faute sur lui et sur lui seul. Ces quelques phrases montrent la psychologie du personnage, très affaiblie pour le moment par tout ce à quoi il a dû faire face. [...]
[...] Il est la victime et le témoin de l'action, car il a vu un crime (un assassinat) se dérouler sous ses yeux, il n'a alors pas pu voir le tueur, mais était sur le balcon, dans le champ de vision de l'assassin qui lui l'a bien vu et décide d'éliminer ce témoin gênant. Il est présenté comme un garçon sympathique qui essaie de se faire accepter par les autres malgré son problème de vue et ses lunettes de soleil, qu'il doit constamment porter, mais provisoirement. Il y a également sa mère, Marielle, qui est actrice et doit souvent s'absenter pour des répétitions et des représentations de théâtre; tout comme son fils, elle est une victime. Elle aime son fils et est prête à sacrifier sa carrière pour son bien-être et son équilibre. [...]
[...] * Ce roman peut être qualifié de roman à suspens, car il laisse le lecteur dans une attente anxieuse, un doute sur la suite du déroulement de l'histoire. En effet, personne ne peut se douter de la suite des évènements et ne sait pas si le tueur a vraiment vu Daniel, et quelles seront les conséquences de ce crime, est-ce qu'elles auront des répercussions ou non sur la vie du protagoniste? * Le narrateur de ce roman est une personne externe à l'action, indépendant de la situation d'énonciation et n'est donc pas présent dans le livre. [...]
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