Les voyages de Gulliver a été écrit en 1726. Nous allons travailler ici, à partir d'une traduction, qui ici est une sorte de trahison. Dans une page, Swift aborde la relativité des systèmes des gouvernements mais également des valeurs humaines.
Les idées des philosophes des Lumières se développent surtout en Angleterre, car elle est la grande puissance économique et politique du XVIIIème siècle. Les valeurs des philosophes des Lumières sont l'importance de l'homme qui est au coeur du monde, mais également de grands principes tels que la liberté (...)
[...] Les voyages de Gulliver, Jonathan Swift Les voyages de Gulliver à été écrit en 1726. Nous allons travailler ici, à partir d'une traduction, qui ici est une sorte de trahison. Dans une page, Swift aborde la relativité des systèmes des gouvernements mais également des valeurs humaines. Les idées des philosophes des Lumières se développent surtout en Angleterre, car elle est la grande puissance économique et politique du XVIIIème siècle. Les valeurs des philosophes des Lumières sont l'importance de l'homme qui est au cœur du monde, mais également de grands principes tels que la liberté Quel est l'enjeu du texte ? [...]
[...] Le narrateur réfléchit donc sur les observations du roi et rejoint les critiques de celui-ci. II) Le regard du narrateur Les enjeux d'opposition Tout d'abord, on constate un rapport du narrateur avec sa patrie, avec des liens d'amour, d'admiration et de fierté qui les lie, ce sont des termes affectifs. Par exemple, ligne 6 complaisamment qu'il faut comprendre comme un sentiment à l'égard de sa patrie manifesté de manière physique rougissais (ligne une indignation (ligne 22) mais également une énumération à la ligne 25 avec les termes tels que vertu ou piété qui s'opposent à mépris (ligne 25). [...]
[...] Apparaissent la relativité des valeurs et la nécessité de tolérance. Conclusion : Dans ce texte, on constate la nécessité d'écouter mais également d'observer ce qui est différent en fonction de chaque personne, de sa bienveillance. On y apprend à exercer sa réflexion et sa raison pour comprendre le fonctionnement d'une société. C'est donc bel et bien une caractéristique du mouvement des Lumières d'enseigner la relativité et la tolérance. Cependant, l'accoutumance et la tolérance ont des limites puisqu'il ne faut pas perdre ses propres valeurs au risque de tomber dans l'uniformisation et l'indifférence, source d'intolérance. [...]
[...] L'indulgence : traduite par le rire sans méchanceté, très spontané du roi. Le roi ne condamne par le narrateur. On constate qu'il n'y a pas d'attaque personnelle. Il critique seulement le comportement et la nature humaine. Il y a donc connaissance de la nature humaine de la part du roi. L'orgueil : on constate de l'orgueil de la part du narrateur avec l'utilisation des adjectifs possessifs ma (ligne ou encore indignation (ligne qui montrent le refus de reconnaitre son orgueil. La réflexion du narrateur après mure réflexion (ligne 27). [...]
[...] Cette conversation montre la domination du prince, pleine de douceur envers le narrateur. La prise de conscience Cette prise de conscience est annoncée par la conjonction de coordination mais à la ligne 26, accentué et mis en valeur par la virgule. Cette prise de conscience est également marquée par la répétition du pronom singulier je qui apparait fréquemment (ligne 26 l'état ou je me trouvais ligne 27 je finis après mure réflexion ou encore ligne 29 m'étant accoutumé Le narrateur devient cette fois le sujet. [...]
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