Alors qu'il a quinze ans, il collabore avec des journaux légers de l'époque (Sourire, Fantasio, La vie Parisienne, etc.). Cela dure un an, jusqu'au jour où il va toucher les droits d'auteur de ses contes et là, les rédacteurs constatent son jeune âge, ce qui met fin à leur collaboration. Malheureusement pour Stanislas-André, ses parents sont mis au courant de ses "condamnables" activités ; ce qui lui vaut une fessée magistrale. Par vengeance, il décide d'arrêter ses études et de ne pas suivre la tradition familiale qui était d'avoir une profession "honorable" (...)
[...] Le moindre fait divers peut devenir le sujet d'un sketch même si parfois il est bon de ne pas dépasser les limites. Mais qui peut dire où se situe la frontière entre le sérieux et la plaisanterie ? Personne, pour ma part, ne serait assez qualifié pour en juger. Il y aura toujours des points sensibles pour certains et moins pour d'autres. Je pense bien entendu à l'humoriste Dieudonné qui a tenu des propos anti-sémites dans un de ses spectacles. [...]
[...] Comme Stanislas-André souffre du coeur, en 1945, il déménage dans le Midi de la France. Un an plus tard, il écrit avec Henri Storck le scénario d'un film qui ne sera pas réalisé : Mannequin assassiné″. Jusqu'en 1962, il rédige avec un journaliste un grand nombre de romans plus libres que ses premiers ouvrages. En 1970, il meurt d'un cancer à Menton après huit ans de silence. Renseignements trouvés sur www.biblioweb.org et sur //home.scarlet.be/steeman/bio.html. Résumé de L'assassin habite au 21 Cette histoire se déroule dans le centre de Londres durant les années 30. [...]
[...] Ils vont même jusqu'à faire des blagues à son sujet Humour et Horreur Dans le livre, les criminels rient de leurs méfaits et à la fin leur véritable identité est découverte par une simple partie de carte. Les Mr Smith se moquent de la police et s'amusent en tuant des gens. L'humour est le propre de l'homme même si cette personne est le pire des criminels. L'homme peut commettre des crimes et jouer avec la police qui le poursuit. De nos jours, tout le monde ris de tout et de rien. [...]
[...] Au même instant, dans le bureau du préfet de police, Sir Christopher Hunt, le Superintendant Strickland lui fait récit de son aventure avec Toby Marsh. Après discussion, ils décident que la meilleure méthode serait d'avoir un observateur infiltré, et ils optent pour M. Julie. Dès la première sortie de l'égyptologue, celui-ci est appréhendé par un inspecteur qui le conduit au sous-commissaire, Mr Robert Prior. Robin, pour les intimes, explique qu'il souhaiterait que M. Julie aide Scotland Yard à coincer MR SMITH. Le Français, rempli d'effroi, refuse catégoriquement et court boucler ses valises. Il est retrouvé mort quelques heures plus tard dans sa chambre. [...]
[...] A 21 ans, il recommence à écrire seul et deux ans après, il obtient le Grand Prix du roman d'aventures avec Hommes Morts″. Cette récompense l'encourage et ces années sont très productives pour lui : il écrit une douzaine de livres. C'est même durant ces années qu'il conçoit son héros préféré : Wenceslas Vorobeïtchik, connu sous le nom de Monsieur Wens. Il choisit son nom pour rendre hommage à sa descendance slave. Ses romans sont publiés dans la collection masque″, d'où viennent les romans noirs américains. Les histoires de Stanislas-André sont de style classique : situations closes, rigueur de la narration. [...]
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