[...]
Un. Premier jour.
Le narrateur est un tueur à gages ; il est à Madrid pour un contrat. Sa petite-amie (une française) arrive de Mexico à Madrid pour une semaine de vacances. Il l'aime et se rappelle leur rencontre dans un café à Paris. Ils sont ensemble depuis trois ans ; elle croit qu'il est un représentant qui voyage beaucoup. Il vit dans un appartement avec elle. Il lui a payé des vacances à Mexico le temps d'exécuter son contrat et attend avec impatience qu'elle le rejoigne à Madrid. Sa cible (un homme sur une photo) le tracasse sans qu'il sache pourquoi. Le tueur reçoit un message de la française : elle a rencontré un autre homme et le quitte. Furieux il fait appel à une prostituée.
Deux. Deuxième jour.
Son contact l'appelle : il reçoit cinq photos de sa cible. Il doit attendre quelques jours car l'homme en question a disparu. Avant son départ, la française l'appelle et s'excuse. Furieux, il raccroche. A l'aéroport, il repère sa cible en lisant l'article d'un journal : il est à Istanbul. Il appelle son contact qui lui dit de rester où il est.
Trois. Troisième jour.
Le tueur arrive à Istanbul. Sa cible est un mexicain de 36 ans : Victor Mujica. Il ne tente rien car ses commanditaires veulent qu'il meure en Amérique. Poussé par une inhabituelle curiosité, le tueur va à son hôtel et remarque un homme suspect qui lit un journal. Il le frappe et découvre que c'est un agent de la DEA. Déstabilisé, il se rend dans le grand bazar. Deux vendeurs de tapis armés l'emmènent dans une boutique. Ils lui posent des questions et le tueur invente une réponse vaseuse sur l'agression de l'homme à l'hôtel. Frappé, le tueur riposte et désarme son agresseur. Soudain l'un d'entre eux tombe mort. Quand il se retourne, le tueur aperçoit sa cible avec un révolver : il vient de lui sauver la vie. Ils partent ensemble (...)
[...] À la sortie de cette maison, le commissaire Apaia et son inspecteur croisent Dany Contreras et le ramènent à son hôtel. Ils veulent savoir pourquoi ils ont demandé une autopsie si vite. Mais c'est Ciccarelli qui a fait le premier la demande. Ils mènent la même enquête mais espèrent un résultat différent. A son hôtel, Dany Contreras reçoit une carte : Ornella Brunni l'attend dans sa chambre. Avant d'y aller le commissaire l'appelle : l'autopsie révèle que la mort est subite. Cela lui paraît rapide car l'enterrement est dans quelques heures. Cette nouvelle signifie que Dany Contreras devra retrouver Manai. [...]
[...] Le tueur reçoit un message de la française : elle a rencontré un autre homme et le quitte. Furieux il fait appel à une prostituée. Deux. Deuxième jour. Son contact l'appelle : il reçoit cinq photos de sa cible. Il doit attendre quelques jours car l'homme en question a disparu. Avant son départ, la française l'appelle et s'excuse. Furieux, il raccroche. A l'aéroport, il repère sa cible en lisant l'article d'un journal : il est à Istanbul. Il appelle son contact qui lui dit de rester où il est. [...]
[...] La cible, mourante, est surprise que la française et le tueur se connaissent. La française ne comprend rien. Le tueur abat la cible, puis la française bien qu'il l'aime toujours. Hot line de Sépulvéda. Un. Gâchette facile. Un groupe militaire a volé un troupeau de vaches. Un policier, Georges Washington Caustaman, les a arrêté en blessant l'un d'eux : le fils du général. Le commissaire lit le rapport et, pour protéger son employé, le faire muter à la capitale (à Santiago) dans la brigade des crimes sexuels. [...]
[...] Le tueur prend l'avion pour Frankfort. Il est perturbé par ce qui arrive et repense à sa française. Son contact lui dit de se rendre à Paris. Cinq. Cinquième jour. Il arrive à Paris et prend quelques affaires chez lui quand la française appelle pour s'excuser. Elle veut revenir. Il résiste à la tentation de décrocher. Il rencontre son contact pour la première fois. Ce dernier lui fait comprendre qu'après de telles erreurs, il doit prendre sa retraite. Ce contrat sera son dernier. [...]
[...] L'inspecteur Pietro Chielli surgit dans le restaurant et emmène Dany Contreras : quelqu'un a essayé de tuer Ciccarelli. Alors qu'il lisait, un dard du Pantanal a été envoyé sur son livre. Les trois morts des hommes sont sûrement des meurtres : Pietro Chielli demande des autopsies. Le dard a disparu alors qu'il avait été recueilli dans une poche plastique. Main dans la main. Du curare est trouvé dans le livre et a fondu dans la poche plastique dans lequel un policier l'avait placé. Chielli prévient Dany Contreras. Ornella lui dit que son père avait peur de Manai. [...]
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