Le roman Pourquoi j'ai mangé mon père traite d'un sujet de société (le progrès des hommes) et s'inscrit dans la thématique "Risques et Progrès" du brevet de technicien supérieur.
L'action débute sous l'ère préhistorique et évolue au fil des ans. L'histoire se déroule principalement en Afrique mais elle fait également référence à la Chine (...)
[...] Après avoir lu ce roman, je peux vous confier en toute honnêteté que j'ai adoré cette histoire. En effet, plus que le style accessible de l'auteur Roy Lewis, c'est la progression de l'action toujours en lien avec la notion de progrès qui m'a captivé de la première à la dernière page. De plus, l'humour dont a fait preuve Roy Lewis a su conquérir mon intérêt et m'a obligé à m'interroger sur l'évolution de l'homme. En outre même si la fin d'Édouard est tragique, elle étonne le lecteur qui comprend pourquoi l'auteur a si ingénieusement nommé son œuvre Pourquoi j'ai mangé mon père. [...]
[...] Les références à des inventions sont nombreuses : le feu, les pointes de feu, les arcs Mais, au fur et à mesure qu'Édouard poursuit sa quête d'inventeur, les siens pensent de plus en plus (comme Vania) que le progrès doit être mesuré et approuvé démocratiquement (et non imposé à tous de manière autocratique comme le fait Édouard). Cette divergence d'opinions s'intensifiera jusqu'à la fin tragique de ce dernier. Sa mort dans des conditions que le lecteur connaissait préalablement du fait du titre d' l'œuvre. Les personnages principaux : - Édouard : personnage principal, homme de science et précurseur, il estime que le progrès et l'évolution de son espèce n'a pas de prix. [...]
[...] Roy Lewis nous présente le quotidien d'une famille composée d'hommes, de femmes et d'enfants et nous détaille le dur apprentissage de l'évolution de l'être humain à travers cette famille. Au début du roman, cette tribu vit dans les arbres et se comporte comme des singes. A la fin du livre, cette famille vit debout sur la terre ferme, maîtrise le feu et a commencé a érigé certaines règles de vie en société. L'action : Résumé : Ernest, un jeune homme préhistorique, nous raconte les aventures de sa famille et en particulier de son père Édouard (un homme de science, un précurseur). [...]
[...] Sa soif de progrès causera, par ailleurs, sa fin. Appréciation : J'ai choisi ce roman parmi la liste que vous nous avons proposé pour son titre peu évocateur. En effet, il n'est pas anodin de faire face à une œuvre ainsi nommée. Avant la lecture, je me suis posé la question suivante : en quoi ce roman s'inscrit-il dans les thèmes prévus par le référentiel de l'examen ? Au fil de la lecture, j'ai compris qu'il était question de progrès et de son impact dans la vie. [...]
[...] Pourtant, ce dernier protagoniste qui se considère comme singe et non comme homme mangera de l'éléphant alors que le singe est une espèce non carnivore (à la différence de l'homme). La tribu, bien qu'admirative, participera également au progrès : la mère découvrira la cuisson des aliments et William, le frère d'Ernest, tentera de domestiquer un chien. Cependant, plus ses fils grandissent et plus ils sont réfractaires aux idées de leur père Édouard qui veut partager ses inventions avec la société toute entière. [...]
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