Sciences humaines et arts, Sur la route, jack kerouac, résumé partie par partie, Sal Paradise, visée autobiographique, Beat génération
Point de départ : rupture suite à une maladie ; cela scelle le départ d'une nouvelle vie qu'il définit « sur la route »
Dean Moriarty : déclencheur de cette nouvelle vie. Homme né sur la route (prédestiné ?) Homme qui n'a pas eu une vie « normale » ; a fait de la prison, s'est ensuite entiché d'une fille jolie mais apparemment « capable des plus horribles vacheries ». Ne sait pas lire (marque d'une existence en marge) mais veut apprendre. A du prendre la fuite après une altercation avec Marylou qui a porté plainte : se retrouve sans un endroit où aller. Errance, grande liste de lieux qui traduit un nom attachement. Se rend donc chez le narrateur. Dean était « surexcité par la possibilité merveilleuse de devenir un vrai intellectuel ». Le narrateur le qualifie de « gosse furieusement excité par la vie » qui « voulait vivre de toutes ses forces ».
[...] Souhait de Sal être tous les deux un couple de vieux copains , Dean semble plus calme. Regardent photos : pense qu'un jour on se dira que leurs vies étaient calme comme ces photos. II) Chanson pas de chez soi pour moi Récit rapide des journées le matin l'aube, le soir, la nuit+lieu) Henry Glass avec lui sort de prison : enfermé juste avec une bible pour l'obliger à la lire. Demande à Sal de veiller à ce que ses narines ne se dilatent pas car signe qu'il va péter un plomb. [...]
[...] Dean roule trop vite. Dit qu'il veit divorcer de camille pour se mettre avec une serveuse. Accident sans gravité mais Sal très énervé ; un fermier les sort de là avec tracteur, Sal et Dean sous le charme d'une de ses filles Sal je plaquerais tout pour me mettre à sa merci Repartent en voiture. Arrive chez Wall qui dit à Dean tu as toujours été une tête brulée d'enfant de pute ».Mangent et repartent avec les 2 collégiens. IX) Cette nuit là je vis tout l'Etat de Nebraska défiler sous mes yeux Se parlent de leurs vies : arrestation en 44 de Dean (page 360) et évasion. [...]
[...] Se rend donc chez le narrateur. Dean était surexcité par la possibilité merveilleuse de devenir un vrai intellectuel Le narrateur le qualifie de gosse furieusement excité par la vie qui voulait vivre de toutes ses forces Fonce, tout ce que tu fais est grand Rencontre de Carlo Marx : vie de débauche de ce dernier, raconte à Dean : narrateur ne se sent pas à la hauteur de ces vies hors norme et se sent mis à l'écart. Les seules gens qui existent pour moi sont les déments, ceux qui ont la démence de vivre, la démence de discourir, la démence d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bailler ni sortir un lieu commun mais qui brûlent, qui brûlent , pareils aux feux jaunes des chandelles romaines explosant dans des poêle à frire à travers les étoiles Répétition dès le début de l'œuvre : j'avais toujours rêvé d'aller dans l'Ouest sorti des neiges de l'ouest Au printemps : chacun prépare sa virée, narrateur prépare son premier voyage dans l'ouest. [...]
[...] Narrateur à Denver, cherche Dean. VII) Vit avec Roland Major (qui travaille une nouvelle de type Hemingway). C'est un ennemi de l'univers. Ref à Hemingway fréquente ; Voc trimbaler Fonce rejoindre Carlo Marx qui lui explique qu'il est en affaire avec Dean, qu'ils ont recours à la benzédrine( amphétamines) : ensemble ils discutent, refond le monde. Dean sort avec 2 femmes : Camille et Marylou Retrouve Dean tu te l'es envoyée finalement cette vieille route Pour Dean revenir à la vie signifie revenir à la vie de dehors. [...]
[...] Se remettent ensemble et font la route tous les trois. Les gens du Sud n'aimaient pas le moins du monde les cinglés, ni le genre de Dean Dean a changé, plus mature mais toujours désir de partir. On s'en ira vers la douce vie, parce que le moment est venu et nous savons tous qu'il est, le moment Retour de Dean la mouche m'avait piqué de nouveau et le nom de la mouche c'était Dean Moriarty et j'étais bon pour un nouveau galop sur la route : on se rend compte de l'ampleur de l'influence de Dean sur Sal qui finalement pourrait peut-être être heureux dans une vie des plus casanière. [...]
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