Scène 1 :
La scène d'exposition début sur un dialogue entre Lucinde et Marton. Elles discutent d'un portrait qu'elles ont créé pour faire réagir le frère de Lucinde, Valère, car cet homme est réellement égocentrique et il s'aime trop. Ce portrait représente Valère en femme : « Quoiqu'il soit le plus joli homme du monde, il brille ici en femme encore avec de nouvelles grâces. » (p. 47). En effet, selon Lucinde, son frère se ressemble plus sur le portrait qu'en vrai. Si Lucinde veut réellement montrer ce portrait à son frère c'est pour le faire réagir face à son égoïsme débordant (...)
[...] Je crois qu'ils ressemblent aux miens. (p. 57). Seul Frontin se rend compte que le personnage sur le portrait n'est autre que son maître Valère, en femme. Il comprend que cette farce doit être due à sa sœur Lucinde. Valère questionne alors Frontin sur cette femme, et Frontin lui explique qu'il la connaît et qu'il l'a même servie et qu'il la sert toujours : J'ai même l'honneur d'être toujours son très humble serviteur. (p. 58). Valère ne comprend pas les propos de Frontin. [...]
[...] Narcisse Rousseau Scène 1 : La scène d'exposition début sur un dialogue entre Lucinde et Marton. Elles discutent d'un portrait qu'elles ont créé pour faire réagir le frère de Lucinde, Valère, car cet homme est réellement égocentrique et il s'aime trop. Ce portrait représente Valère en femme : Quoiqu'il soit le plus joli homme du monde, il brille ici en femme encore avec de nouvelles grâces. (p. 47). En effet, selon Lucinde, son frère se ressemble plus sur le portrait qu'en vrai. [...]
[...] Valère est frustré et vexé de ne pas voir Angélique jalouse et en colère de savoir qu'il la quitte pour une autre. Au contraire, elle lui propose même de lui présenter le jour même. Valère termine en expliquant qu'aimer permet d'être aimer et donc il conseil Angélique d'aimer quelqu'un. Mais cette dernière rétorque qu'elle préfère n'aimer personne que de trop s'aimer elle-même : Il vaut encore mieux n'aimer rien que d'être amoureux de soi-même. (p. 82). Scène 10 : Valère se retrouve seul et il expose sa frustration par rapport à la réaction d'Angélique. [...]
[...] Léandre est touché par cette remarque car elle a fait son bonheur en reniant le sien. Il lui baise alors la main pour remercier sa soeur. Scène 17 : Valère arrive alors au moment du baiser et il montre sa jalousie : Je ne connaissais pas toutes vos conquêtes ni l'heureux objet de votre préférence, et j'aurai soin de me souvenir par humilité qu'après avoir soupiré le plus constamment, Valère a été le plus maltraité. (p. 96). Il explique qu'il la quitte et que cette décision est irrévocable. [...]
[...] Scène 16 : Léandre entre sur scène et Angélique l'encourage à s'approcher de Lucinde : Approchez Léandre, venez apprendre à Lucinde à mieux connaître son propre cœur ; elle croit vous haïr, et va faire tous ses efforts pour vous mal recevoir : mais je vous réponds, moi, que toutes ces marques apparentes de haine sont en effet autant de pauvres réelles de son amour pour vous. (p. 94). Elle affirme ces propos car elle connaît bien le stratagème mis en place : Cléonte, l'homme aimé par Lucinde, n'est autre que Léandre. [...]
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