Théophile Gautier est un romancier, peintre, poète et critique d'art français né le 31 août 1811 à Tarbes, dans les Hautes Pyrénées. Il gardera d'ailleurs pendant longtemps « le souvenir des montagnes bleues ». C'est à partir de la Terminale qu'il commencera à affirmer ses talents artistiques et littéraires en fréquentant l'atelier du peintre Louis-Édouard Rioult où il découvrira d'ailleurs sa myopie. Sa rencontre en 1829 avec Victor Hugo l'influencera grandement et précipitera sa carrière d'écrivain. Participant à de grandes campagnes romantiques telles que la bataille d'Hernani en 1830, il commencera à écrire ses premiers recueils de vers (...)
[...] Tahoser tente alors de lui glisser qu'elle en aime un autre ce que Pharaon se refuse à entendre. Selon lui, la vie qu'elle mènera dans ce palais lui fera oublier la Tahoser qu'elle était. Chapitre 14 : Lorsque Ra'hel se réveilla, elle ne trouva aucune trace de Tahoser. Thamar, faisant mine de n'avoir rien vu réitère ses doutes et ses critiques vis-à- vis de la jeune femme avant d'aller au palais royal afin de récupérer sa récompense. Tahoser, quand à elle, est installé dans ses appartements somptueux. [...]
[...] Elle trouve inanimée Tahoser qui est en petite forme. A l'aide de Thamar sa servante, Ra'hel la ramène à l'intérieur de sa hutte afin qu'elle reprenne des forces. Thamar se méfie de la jeune fille car selon elle, sa misère n'est qu'un déguisement. La nuit tombée, Poëri rend comme à son habitude visite à Ra'hel. Le jeune homme reconnaît tout de suite la jeune malade. Poëri comprit grâce en partie aux explications de Ra'hel que Tahoser est fortement éprise de lui. [...]
[...] Cette dalle donne accès à un escalier puis à l'antichambre de la salle du sarcophage. Avant de rentrer dans cette salle, le Lord et le Docteur sont touchés par une empreinte de pied, probablement celle du dernier prêtre ou ami s'étant retiré des lieux il y a plus de trente siècles. La salle dorée, contenant le sarcophage intact est d'une splendeur inouïe. Rien n'a encore été touché que ce soit les vases canopes, les trois jarres remplies d'eau du Nil ou encore les différentes statuettes. [...]
[...] Poëri lui en fait la remarque alors qu'il lui demande de lui jouer de la mandore et de chanter des chants égyptiens pour l'endormir. A moitié dans son rêve, Poëri prononce alors en hébreu le nom de Ra'hel Chapitre 7 : C'est au petit matin que Nofré se rend compte de l'absence de Tahoser. Souhem, un vieux serviteur annonce alors que Tahoser est amoureuse si elle a agit de la sorte. Alors que Nofré lui demande de qui il tient cette information, ce dernier lui répond que ce ne sont que des déductions personnelles. [...]
[...] N'ayant rien trouvé, Argyropoulos poussé par le gain des mille guinées sonde alors le mur à côté du puits. Ce dernier sonnant creux, il ordonne à ses hommes de dégager une brèche suffisante pour laisser passer un homme. Une galerie contournant dans la montagne l'intérieur du puits conduit à une salle carrée aboutissant à une salle un peu plus haute. Malgré les magnifiques figurations tracées en bas relief laissant présager l'importance du personnage à qui ce tombeau a été dédié, les chercheurs s'aperçoivent vite que cette salle n'avait pas d'autre issue : impossible d'accéder à la salle funèbre ! [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture