Scène 1 :
Scène d'exposition qui commence in medias res. On veut que Précieuse chante mais elle préfère lire dans les lignes de la main de l'officier, mais ce dernier ne veut pas. Le jeune homme, lui, veut bien mais il refuse de peur qu'une femme soit jalouse. Il lui paye un verre d'eau sucrée (...)
[...] Puis les plus hauts gradés parlent de Don Alvaro qui est rétablit. L'un dit l'avoir vu aller se promener avec Don Carlos. Le spectateur comprend alors qu'ils n'aillaient pas se promener, mais qu'ils allaient se battre. Ils disent ensuite qu'ils ont entendu dire que Don Félix est un faux nom. Mais soudain, ils entendent les autres militaires crier : ils remarquent que Don Alvaro est en train de se faire arrêter pour aller en prison : C'est une bien mauvaise affaire. [...]
[...] Don Carlos veut que le chirurgien lui sauve la vie malgré la balle qui s'est logé dans sa poitrine : Sauvez la vie de ce brave / est pour moi du plus grand intérêt (p. 173). Don Alvaro après s'être encore évanoui, reviens à lui. Don Carlos lui dit que si il s'en sort on lui donnera le nom de Calatrava et à ce nom Don Alvaro refuse et s'évanoui encore à cause de ce nom funeste. Don Carlos se demande alors pourquoi : Le nom de Calatrava, / qu'a-t-il, qu'a-t-il, j'en tremble, / de terrible à ses oreilles ? [...]
[...] Don Alvaro lui demande de le faire entrer. Scène 5 : Don Carlos se demande qui ça peut être car cela fait 4ans qu'il s'est coupé du monde et qu'il n'a reçu aucune visite. Scène 6 : Don Alfonso arrive et lui demande si il le reconnaît : Ne trouvez-vous pas dans mon apparence / quelque trait qui vous rappelle / un autre temps et d'autres maux ? (p. 245). A la manière de son frère Don Carlos, Don Alfonso évoque au Père Raphaël. [...]
[...] Il lui dit que c'est le fils des Incas : Toi, tu as grandi parmi les Indiens, / ils t'ont élevé comme un sauvage ; / jeune homme, tu es venu, / avec or et grandes richesses, / demander la pleine grâce / pour la traîtrise de tes parents - 264). Don Alvaro voudrait réparer ce qu'il a fait, mais Don Alfonso se dit être un homme de rancœur et donc il ne peut pas donner la bénédiction à Don Alvaro. Et pendant le combat, Don Alvaro tue Don Alfonso. Il décide d'aller chercher le prêtre qui se cache dans l'ermitage pour qu'il donne la dernière bénédiction à Don Alfonso. [...]
[...] Mais Don Alvaro veut se racheter au près de Don Carlos. Il évoque la destiné en parlant des étoiles qui les ont fait se rencontrer pour s'allier. Don Carlos, lui, se considère comme un moins que rien : il veut se battre. Don Alvaro explique qu'il n'a pas envie de se battre avec Don Carlos car il vivait le début d'une amitié. Il se défend d'avoir tuer son père : il évoque le destin. De plus, il croit que Doña Léonore est morte : je répugne fort / à croiser le fer / avec l'homme qui d'abord / m'inspira une tendre amitié./ Je n'ai pas touché votre père : seul son destin l'a fait. [...]
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