Résumé, scène, Don Alvaro, Force du Destin
Scène d'exposition qui commence in medias res. On veut que Précieuse chante mais elle préfère lire dans les lignes de la main de l'officier, mais ce dernier ne veut pas. Le jeune homme, lui, veut bien mais il refuse de peur qu'une femme soit jalouse. Il lui paye un verre d'eau sucrée.
[...] Scène 3 : On retrouve Don Alvaro, seul, dans la forêt. Il monologue sur sa vie et sur la fatalité qui l'habite : Quel insupportable fardeau / que la vie qui environne / le malheureux mortel / né sous un signe funeste ! (p. 155). Il explique que ça ne sert à rien d'avoir une longue vie si ce n'est que pour souffrir et d'avoie une courte vie si on est heureux. Il cherche la mort, mais il ne la trouve pas. [...]
[...] Don Alfonso insiste pour se battre, et Don Alvaro le supplie de ne pas se battre. Don Alfonso critique ses origines, et cela le met en colère : Il saisit le pommeau d'une épée (p. 255). Puis se reprend, mais Don Alfonso qui veut son combat décide de le frapper pour le provoquer, et cela fonctionne : Ta sentence est donc assurée : / C'est l'heure de ta mort, de ta mort ! (p. 255). Scène 7 : Don Alvaro et Don Alfonso décident de sortir. [...]
[...] Don Carlos, lui, se considère comme un moins que rien : il veut se battre. Don Alvaro explique qu'il n'a pas envie de se battre avec Don Carlos car il vivait le début d'une amitié. Il se défend d'avoir tuer son père : il évoque le destin. De plus, il croit que Doña Léonore est morte : je répugne fort / à croiser le fer / avec l'homme qui d'abord / m'inspira une tendre amitié./ Je n'ai pas touché votre père : seul son destin l'a fait. [...]
[...] : Vous êtes un infirmier excellent même une mère pour son fils / ne montre pas une attention plus grande / ni plus de soins ou de soucis. (p. 191). Mais rapidement, Don Alvaro sent que Don Carlos est bizarre. Mais Don Carlos est juste heureux de pouvoir bientôt venger son père, et il ne veut pas attendre, vu que Don Alvaro peut retourner au combat. Don Carlos parle de Don Alvaro à Don Alvaro : Avez-vous reçu des nouvelles / de don Alvaro l'Indiano ? (p. [...]
[...] Don Alvaro veut la mort ! Scène 4 : On annonce l'arrivée de l'officier supérieur. Le capitaine sort et laisse Don Alvaro seul. Scène 5 : Don Alvaro, seul, parle de la mort de Don Carlos à Doña Léonore. Il s'en veut car c'est lui qui l'a privée de son père, puis de son frère. Mais il tente de se rassurer en avouant qu'il l'a protège d'un ennemi : Tu peu vivre, oui, vivre, / car tu es libérée de son furieux courroux ! [...]
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