Dans une région sinistrée d'une France à la ramasse, celle que nous connaissons aujourd'hui, un entrepreneur décide de s'élever contre l'immobilisme. En réponse à l'appel d'offres du gouvernement pour relancer l'économie, cet homme présente son dossier.
Notre boss dénonce le parcours du combattant que doit mener tout entrepreneur en France, se heurtant à la complexité des procédures et à la lourdeur des services de l'Etat. Il fustige nos élites, qui sont formées à intégrer des structures déjà constituées (administrations, institutions, etc.). Elles sont un véritable obstacle à l'innovation. « Ce sont des élites de confirmation de l'existant ». Lorsque vous tentez d'innover, « le chœur des immobiles entonne ses mises en garde. Ils ne vous cassent pas les pattes, ils se contentent d'épouvanter tous ceux qui pourraient nous soutenir ». Il épingle également ceux (universitaires notamment) pour qui la prise de risque est « une maladie honteuse ». Ceux qui, parce qu'ils n'ont jamais rien entrepris, veulent nous interdire d'essayer. Et s'indigne de ce qu'ils veulent nous ôter cette liberté fondamentale de l'effort, de l'échec et du rebond. L'aventure humaine.
Nous apprenons qu'il dirige « une entreprise sexuelle ». Ce choix est le fruit d'une mûre réflexion : ayant regardé les potentiels – « de formidables bassins de main-d'œuvre non qualifiée » - et les besoins, il voit un investissement à inventer dans le domaine des services à la personne.
[...] En effet, le faites l'amour et pas la guerre cela améliorera les relations humaines s'il y a moins de tabous, d'interdit de frustrations entre les gens et les peuples. Il y aura une redynamisation des échanges et donc du commerce. C'est bénéfique d'un point de vue économique, politique, social et culturel. IV. Quatrième entretien : beaux-arts LA CITÉ Dans ce chapitre l'auteur accentue l'idée que l'Entreprise agir en faveur de la société, il doit l'aider de par ses investissements ; il doit faire profiter tous les citoyens. [...]
[...] Tout doit être pensé en fonction de l'entreprise, tous les concepts doivent tourner autour d'elle afin de la mettre en valeur. Autre point auquel l'auteur fait référence c'est la qualité du personnel, ici dans la Cité chacun parle deux à trois langues, ils sont formés sur place si ce n'est pas le cas. Dans cette partie du livre l'auteur insiste également sur l'expérience unique que doit fournir le service proposé par l'entreprise, celui-ci doit être unique, authentique. Le produit consommé ou le service utilisé doit être vécu comme la première fois par le consommateur (car on se souvient toujours de ses premières fois, on joue sur l'émotionnel). [...]
[...] Il ne faut pas chercher à résister à la société, il faut vivre avec son temps et innover encore et toujours, car ce sera toujours rentable. Il faut être en phase avec elle. Il faut recruter des killers des gens avec du caractère et de la personnalité, il faut la dream team qui fera peur aux concurrents et leurs feront mordre la poussière. Des gens avec peu de travail d'adaptation, une culture d'entreprise acquise, opérationnels, décidés. Faire que le personnel s'entraide lui même, il faut faire des groupes mixtes, cela alliera expérience et motivation, il y aura une synergie de créer. [...]
[...] L'auteur présente des paroles de filles de la Cité en utilisant des mots durs et directs : C'est en formation que les qualités de Carole ont été remarquées. Longueur en bouche épatante. Un musc très épicé. Cet équilibre dans la durée est rare. La finale joviale, enchante durablement. Pour lécheur, plutôt que pour fouteur, même si, en principe, on la conclura en levrette Puis Carole prend la parole en utilisant des mots dans le même genre familier : Se faire brouter, c'est un métier. [...]
[...] L'auteur expose les différents assortiments de la cité, les différents départements : sadomasochiste, pédophilie, zoophilie, nécrophilie, coprophilie et pratiques externes. Tous ces départements ont garanti et respectent la loi. Ses spécialités sont accompagnées par des animations. Animations La Cité organise un jeu qui s'appelle le lolo qui a lieu 2 fois par semaine. Celui-ci consiste à gagner un lot plutôt piquant et débordant d'imagination. L'auteur nous donne l'exemple de Jane Captive où Jane est la prostituée et le client le gorille. [...]
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