Le livre s'intitule « Les Diaboliques » écrit par Barbey d'Aurevilly. Ce livre est composé de 6 nouvelles « Le rideau cramoisi », « Le Plus Bel Amour de Don Juan », « Le Bonheur dans le crime », « Le Dessous de cartes d'une partie de whist », « A un diner d'athées » et « La Vengeance d'une femme ». Il est édité par « classiques» de la collection « le livre de poche ». C'est un roman de fiction.
[...] Je trouve vraiment bizarre de mettre un cœur dans une urne. Ensuite, quand Mesnil sorti de sa cachette, il vit le major Ydow en train de tenir sa femme. Par suite, Mesnil pris son sabre pour le transpercer, le Major mourut instantanément. En partant, Mesnil pris avec lui l'urne avec le cœur de l'enfant. J'ai trouvé cette histoire très biscornue. Je ne comprends pas la citation au début de l'histoire « ceci est digne de gens sans Dieu », elle a surement un lien avec l'acte de Mesnil mais je ne sais pas pourquoi. [...]
[...] Dans cette nouvelle, ont se sait distinguer en réalité « les diaboliques ». Le vicomte de Brassard ou Albertine ? Ensuite, la nouvelle « Le Plus Bel Amour de Don Juan », Don Juan s'appelant Jules-Amédée-Hector de Ravillas de Ravilles été invité à diner avec une douzaine de femmes, toutes ces femmes ont été un jour la maitresse de Don Juan. C'est alors qu'une duchesse lui demanda : quel a été son plus bel amour ? (d'où le titre provient). [...]
[...] Les Diaboliques de Barbey d'Aurevilly Le livre s'intitule « Les Diaboliques » écrit par Barbey d'Aurevilly. Ce livre est composé de 6 nouvelles « Le rideau cramoisi », « Le Plus Bel Amour de Don Juan », « Le Bonheur dans le crime », « Le Dessous de cartes d'une partie de whist », « A un diner d'athées » et « La Vengeance d'une femme ». Il est édité par « classiques» de la collection « le livre de poche ». [...]
[...] Un soir, l'un des narrateurs surpris M. Karkoel qui été en train de mettre dans une bague du poison. De ce fait, il fit le rapprochement d'un soir, lors d'une partie de whist où la fille de la comtesse ; Hermine toussa et la bague de la comtesse où il y'avait du poison. Quelques temps après, on nous dit que Hermine et sa mère sont morte d'une maladie semblable. On dit que après que la comtesse et sa fille était les maitresses de M Karkoel. [...]
[...] Je ne veux d'aucun de vos remèdes. Je veux mourir » : je trouve atroce que la comtesse de Savigny se laisse mourir alors qu'elle pouvait guérir avec des remèdes, à cause de son mari (le comte de Savigny) et de l'amante de son mari (Mlle Hauteclaire Stassin) qui éprouver une liaison amoureuse. En plus de cela, la comtesse voulait le cacher à tous, sauf, au Docteur Torty qui devait donner sa « parole d'honneur de le cacher» comme le dit, la comtesse. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture