(...) Acte III
Arnolphe prépare son union. Il inculte à Agnès les devoirs qu'une jeune épouse doit accomplir et respecter, s'attardant sur les méfaits de l'infidélité. La jeune fille semble résignée.
Toutefois, alors qu'un jour il rencontre à nouveau Horace, Arnolphe apprend que le jeune homme qui n'a pu voir sa conquête, a reçu une lettre d'amour d'elle. Arnolphe dissimule avec peine sa surprise et son mécontentement.
Jaloux, Arnolphe découvre qu'il nourrit des sentiments amoureux pour sa captive et qu'il souhaite être aimé d'elle en retour (...)
[...] Les jeunes amants se sont donnés rendez-vous pour le soir même. Arnolphe bien décidé à faire échouer l'entrevue ordonne à ses valets de surveiller la maison et de couvrir de coups de bâton le jeune intrigant. Acte V Le jeune homme semble avoir succombé sous les coups des domestiques zélés. Arnoplphe qui s'approche pour constater le décès est soudain surpris : Horace parait devant lui, vivant. En effet le jeune homme, tombé de l'échelle, a feint la mort pour ne pas être davantage battu. [...]
[...] Horace qui ignore sa double identité lui confie qu'il a réussi à séduire une jeune fille nommé Agnès, pupille d'un certain M. de la Souche. Acte II Arnolphe, contrarié, blâme ses domestiques qui n'ont manifestement pas su préserver Agnès de la visite d'un rival. Heureusement l'honneur de la jeune fille est sauf. Arnolphe annonce à Agnès sa volonté de hâter le mariage. Celle-ci se méprend : elle pense que son tuteur va lui permettre d'épouser Horace. Arnolphe s'empresse de corriger son erreur : elle sera son épouse. Acte III Arnolphe prépare son union. [...]
[...] Après avoir accepté, Arnolphe dévoile la supercherie à la jeune fille. La déclaration d'amour, les blâmes qu'il lui adresse et la menace de l'envoyer au couvent indiffèrent Agnès, au grand désespoir du tuteur. C'est alors qu'Oronte, le père d'Horace, entre en scène. Il souhaite marier son fils avec la fille du seigneur Enrique. Horace éperdu implore l'aide d'Arnolphe qu'il croit son allié. Ce dernier choisit de dévoiler son identité : il est M. de la Souche. Un dernier coup de théâtre tombe comme un couperet sur le personnage : Arnolphe découvre qu'Agnès n'est autre que la fille du Seigneur Enrique. [...]
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