Livre IX
Chapitre 1
Après son retour d'Amérique, Chateaubriand écrivit une lettre à son frère pour lui expliquer « le détail de sa traversé ». Puis il part du Havre pour aller à Saint Malo. A cause de ses soeurs et de sa famille, il épousa mademoiselle de Lavigne dont il fit vraiment connaissance après son mariage, et commença à l'apprécier.
Chapitre 2
L'auteur part à Paris, comme la plupart des dirigeants de l'armée, il y rencontre l'abbé Barthélémy et le poète Saint-Ange.
Chapitre 3
Paris, entre 1789 et 1792, a complètement changé de physionomie, en effet « l'apparence du peuple n'était plus tumultueuse, curieuse, empressée ; elle était menaçante ». On a affaire à une description de l'assemblée législative et des clubs, puis des cordeliers, qui auraient permis de ne pas séparer Paris en deux, puis des orateurs qui n'arrivaient pas à se mettre d'accord, et enfin de « Marat et ses amis » (...)
[...] Chapitre 7 Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe Livres IX à XII L'auteur avait préparé une grande fête qui lui a coûté quarante mille francs, tout était parfait. Il y mangea ses quarante écus. Pelletier lui trouva un nouveau travail : déchiffrer des anciens manuscrits français. Il changea de nom et s'appela ainsi Combourg. Chapitre 8 Tout se passait bien en province jusqu'au jour où il appris que quasiment toute sa famille a été immolée, le même jour, à la même heure. [...]
[...] Chapitre 2 Quelques mots sur les récits anciens et nouveaux. Richardson est un auteur qui ne possède aucun style d'écriture. L'auteur nous présente les nouveaux récits comme reprenant toujours les mêmes thèmes. Dans la nouvelle école de Walter Scott, certaines choses sont inversées : le romancier s'est mis à faire des romans historiques, et l'historien des histoires romanesques Chapitre 3 La poésie subit un transformation semblable que le roman passant à l'état romantique. Même si on parle couramment une langue, on ne peut pas juger un roman dans cette langue. [...]
[...] Celle-ci se fit à l'aide de nombreuses femmes qui le soutenaient, apportaient à manger . A Bruxelles, il y retrouva son frère qui l'aida à se loger et à se soigner. Chapitre 3 A Bruxelles, un chirurgien lui donna les premiers soins pour sa petite-vérole, puis il décida de partir pour Ostende. Il fut mit à terre à Guernesey parce que le capitaine ne voulait pas que quelqu'un meurt sur son bateau. La femme d'un pilote anglais l'emmena chez elle jusqu'au lendemain matin et le soigna. [...]
[...] L'arrivée à Berlin est assez lugubre et macabre, macabre pour les célèbres sacrifices de femmes, et lugubre pour la maladie des Prussiens se communiqua à notre petite armée Le capitaine de la compagnie, M. de Goyon Miniac, laissa l'auteur partir le 16 octobre, près de Longwy. Une petite-vérole confluente se déclara Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe Livres IX à XII Livre X Chapitre 1 A sa sorti d'Arlon, un paysan l'emmena dans sa charrette pour quatre sous. Puis, il continua le chemin à pied et rencontra quatre ou cinq camarades. [...]
[...] Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe Livres IX à XII Livre IX Chapitre 1 Après son retour d'Amérique, Chateaubriand écrivit une lettre à son frère pour lui expliquer le détail de sa traversé Puis il part du Havre pour aller à Saint Malo. A cause de ses soeurs et de sa famille, il épousa mademoiselle de Lavigne dont il fit vraiment connaissance après son mariage, et commença à l'apprécier. Chapitre 2 L'auteur part à Paris, comme la plupart des dirigeants de l'armée, il y rencontre l'abbé Barthélémy et le poète Saint-Ange. [...]
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