Fiche de synthèse du Livre I Du Contrat Social de Rousseau. Ce livre est un modèle théorique : l'idée pure de Cité - indépendamment de toute circonstance historique. Il ne s'agit donc pas, pour Rousseau de faire la genèse du pouvoir politique, d'énoncer la règle selon laquelle on doit juger tous les régimes existants, de déterminer le fondement du droit. Rousseau veut trouver un principe de légitimité du pouvoir et la manière d'organiser le corps politique.
[...] Chapitre VIII Ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre ; ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu'il possède. »Pour Rousseau ce sont les autres qui nous rendent propriétaires. L'homme devient aussi un être moral. Livre II Dans le livre II, Rousseau étudie la nature de la souveraineté, ses limites et comment elles s'exercent Chapitre I et II Rousseau expose les caractères de la souveraineté : elle est inaliénable et indivisible Elle est inaliénable car on ne peut pas transmettre sa volonté et indivisible car il n'y a pas de séparation des pouvoirs. [...]
[...] Chapitre VIII Pour Rousseau, tout gouvernement n'est pas adéquat à tout pays. Pour déterminer le gouvernement d'un pays, il faut tenir compte des conditions naturelles, en particulier climatique Conclusion Critique Rousseau propose avec le Contrat social de réformer la société dans laquelle il vivait : l'Ancien Régime. Cet ouvrage entraîna en partie la Révolution française (et en étant une de ses références importantes) Ce livre un modèle théorique : l'idée pure de Cité- indépendamment de toute circonstance historique. Il ne s'agit donc pas, pour Rousseau, de faire la genèse du pouvoir politique, d'énoncer la règle selon laquelle on doit juger tous les régimes existants, de déterminer le fondement du droit. [...]
[...] Livre Premier Chapitre I Rousseau évoque la domination sociale des hommes par d'autres hommes. Comment ce changement s'est-il fait ? : l'homme a connu diverses formes de domination. Selon Rousseau, l'homme est forcé de vivre en société : l'ordre social est un droit sacré, qui sert de base à tous les autres. Il s'agit de savoir quelles sont ces conventions ,Rousseau annonce le plan du livre I,l'ordre social n'est pas fondé sur la nature mais sur une première convention qui est le contrat social Chapitre II Rousseau va d'abord montrer que le fondement de toute société est une convention. [...]
[...] Selon Rousseau, les guerres ne détruisent pas les biens privés : Même en pleine guerre un prince juste [ . ] respecte la personne et les biens des particuliers [ . Chapitre V C'est dans ce chapitre que Rousseau va commencer à développer sa propre conception de ce qui constitue un pouvoir légitime. La question que soulève Rousseau est la suivante : à quelles conditions est- ce que des individus forment un tout qu'on peut qualifier de peuple ? Il serait bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple ; car cet acte, étant nécessairement antérieur à l'autre, est le vrai fondement de la société. [...]
[...] Mais il explique aussitôt : les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir; ils aiment leur servitude comme les compagnons d'Ulysse aimaient leur abrutissement voulant dire par là que la hiérarchie sociale n'est pas naturelle mais qu'elle repose sur une convention originelle. Chapitre III Ce chapitre va qualifier la force comme pouvoir non légitime en raison de l'argument suivant : céder à la force est une forme de prudence. Mais cela ne signifie pas que celui qui use de sa force en ait le droit et son pouvoir n'est pas légitime. Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté; c'est tout au plus un acte de prudence. [...]
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