résumé, chronologique, Robinson Crusoé, Daniel Defoe
Le narrateur, qu'on déduit être Robinson Crusoé, nous avoue qu'il est né en 1632 à York. Il a 2 frères, mais l'un, un lieutenant-colonel, est mort à la guerre et l'autre a disparu. Son père veut qu'il devienne avocat mais il rêve de voyager à travers les mers. Son père tente alors de l'en dissuader en lui disant que cela n'est pas désirable, qu'il ne vit pas en difficulté et donc qu'il n'a pas besoin de partir à l'aventure : « Il n'y a que les hommes dans l'adversité ou les ambitieux qui s'en vont chercher aventure dans les pays étrangers. ».
[...] Quand les 2 hommes se comprennent totalement, Robinson décide de raconter à Vendredi sa vie et ses aventures. Il lui apprend à tirer et lui donne aussi un couteau. Il lui décrit souvent comment ils vivent en Europe, à quoi ressemblent les paysages Il lui montre la chaloupe, le lieu du navire. Vendredi contemple longuement la chaloupe et il finit par dire qu'il y en avait un qui avait échoué sur son île. Robinson pense que cette chaloupe s'est retrouvée sur l'île suite à un naufrage lointain et qu'elle était vide, mais non. [...]
[...] Sur le retour, son chemin attrape un cabri et Robinson décide de le ramener en laisse jusque chez lui. Robinson revient chez lui après un mois d'absence. Il est vraiment heureux de retrouver son antre et il décide de ne plus s'éloigner si longtemps. Il réalise petit à petit une cage pour son perroquet, Poll qui se familiarise de plus en plus avec lui et sa maison. Il pense soudain, au bout d'une semaine, au cabri qu'il a ramené en laisse. [...]
[...] Le soir décide de réitérer sa médecine, mais de façon moins intense. Malheureusement, les effets sont moins satisfaisants : il ne se sent pas aussi bien que la veille juillet 1660 : Robinson réalise de nouveau son remède, mais cette fois, il double les quantités juillet 1660 : Grâce à sa mixture, la fièvre n'est plus du tout présente et il retrouve toutes ses forces peu de temps après. Il se rend compte que c'est Dieu qui a voulu qu'il soit guéri de ce mal et il décide de le remercier en priant : Je me jetai à genoux, et je remerciai Dieu à haute voix de m'avoir sauvé de cette maladie (p. [...]
[...] Il prend sous sa tutelle ses deux neveux : l'un devient gentleman, l'autre capitaine de navire, et c'est lui qui va l'emmener revoir son île plus tard. Il se marie et il a 3 enfants. A la mort de sa femme, il décide de partir avec son neveu en mer pendant l'année 1694. Il retrouve les Espagnols et ceux-ci lui expliquent qu'ils ont eu beaucoup de mal pour s'entendre avec les 2 scélérats, mais que tout c'est bien arrangé au fur et à mesure. [...]
[...] Il compare cela à des miracles. Il relativise la situation en se disant qu'il a atterri sur une île, certes désert où il doit vivre seul, mais il évolue surtout sur une île où il n'est pas confronté à des animaux sauvages qui pourraient le nuire : Un lieu où j'eusse pu être jeté plus à mon avantage ; un place où, comme dans celle-ci, j'eusse été privé de toute société, ce qui d'un côté faisait mon affliction, mais où aussi je n'eusse trouvé ni bêtes féroces, ni loups, ni tigres furieux pour menacer ma vie ; ni venimeuses, ni vénéneuses créatures dont j'eusse pu manger pour ma perte, ni sauvages pour me massacrer et me dévorer. [...]
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