Les brigands, Schiller, résumé, acte, scène
On retrouve Franz et son père dans une salle du château des Moor. Franz a fait venir son père dans le but de lui lire une lettre reçue de leur correspondant à Leipzig qui parle de Karl. Franz n'arrête pas de demander à son père si ça va. Apparemment il à une mauvaise nouvelle à lui annoncer. Le vieux Moor le comprend alors qu'il se passe quelque chose de grave. Franz se résigne alors à lui avouer le drame car il sent son père trop faible. Le vieux Moor insiste, Franz cède.
[...] Il fuit. Arrive Franz qui trouve que ce comte lui dit quelque chose : il y a dans son visage farouche brûlé par le soleil quelque chose de noble et de déjà vu, qui me fait trembler (p. 112). Il comprend alors que c'est Karl quand il arrive devant sa peinture. Il appelle Daniel, son serviteur pour qu'il lui apporte un verre de vin. A son retour, il pense que Daniel, Karl et Amalia on mit du poison dans son verre. [...]
[...] Il le traite de monstre, de vaurien. Franz lit la lettre en ajoutant au fur et à mesure ses commentaires. Il prête aussi toujours autant d'attention à son père qui va être bouleversé par cette annonce. Il est accusé de s'être endetté, d'avoir violer une jeune femme d'un riche banquier de la ville et d'avoir tuer un honnête homme en duel : après avoir fait quarante mille ducats de dettes [ défloré la fille d'un riche banquier d'ici et blessé à mort en duel son soupirant (p.13). [...]
[...] Puis il raconte l'attaque d'un cloître où sa bande à piller, violer, voler Ce récit fait jubiler Razmann. Spiegelberg lui explique alors comment faire pour attaquer une ville. Il avoue clairement qu'il faut détruire l'âme pour détruire quelqu'un complètement. Ils continuent à parler. On apprend que la bande de brigands s'est livré à un exploit : ils ont libéré Roller qui allait se faire pendre. Karl arrive et Spiegelberg lui conte ses exploits. Mais Moor n'aime pas l'attitude de son camarade. [...]
[...] Soudain, il entend des voix : Hermann parle à un homme. Il lui demande de lui dire qui est emprisonné là haut. Hermann ne répond pas. Karl décide de délivrer cette personne, il reconnaît la voix de son père. Son père lui avoue que c'est son fils, Franz, qui la emprisonné ici et il lui raconte comment cela a été fait (p. 140). Karl est outré. Il décide de réveiller ses brigands pour leur présenter son père. Puis il leur explique la situation : il veut tuer son frère. [...]
[...] Amalia arrive, décide de le réveiller. Elle s'excuse et lui pardonne. Ils parlent de Karl. Le vieux Moor pense avoir gâcher leur amour. Ils pleurent son absence et son changement. Puis Hermann arrive déguisé. Il explique qu'il a connu Karl sur le champ de bataille. Il le met en position de héros, qu'il s'est vraiment battu, mais qu'il s'est fait abattre lors d'une bataille. C'est un choc pour son père et Amalia. Il explique que ses dernières paroles furent pour Amalia. [...]
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