L'étranger, Albert Camus, chapitre, résumé
Meursault, jeune employé de bureau habitant Alger, reçoit un télégramme de l'asile de vieillards de Marengo lui annonçant la mort de sa mère. Il demande alors à son patron deux jours de congés mais celui-ci n'est pas très enthousiaste. Il lui accorde tout de même. Il part alors pour l'enterrement en autobus dans lequel il a très chaud, et à pied car l'asile est à 2km du village.
[...] Chapitre 6 : Le dimanche, Meursault a du mal à se lever. Quand Marie l'éveille, il se sent mal à l'aise. Ils s'apprêtèrent à partir avec Raymond. La veille, Meursault a témoigné que la fille avait manqué à Raymond, et ce dernier s'en tira avec un avertissement. Raymond descendit les escaliers très heureux, puis il voit en face d'eux un groupe d'arabes qui les regardaient et parmi eux il y avait le type de Raymond. Mais c'est désormais une histoire finie Ils prennent l'autobus pour aller jusqu'à la plage et Meursault vit que Marie plaisait à Raymond mais elle ne disait rien, elle riait juste de temps en temps. [...]
[...] Il lui demanda si Meursault voulait sortir avec lui. Il accepta, et il accepta aussi de lui servir de témoin parce qu'il fallait juste dire que la femme lui avait manqué de respect. Ils sont sortit tout les deux, ils ont joué au billard, Meursault a perdu et il refusa d'aller au bordel car il n'aimait pas ça. Raymond lui dit qu'il était content d'avoir puni sa maîtresse. Meursault le trouvait gentil et pensa que c'était un bon moment. Puis quand ils rentraient, ils ont vu Salamano qui regardait partout, il cherchait quelque chose : son chien, il s'était enfui. [...]
[...] Puis il vit Marie, il la trouvait très belle mais il ne réussit pas à lui dire. Ils parlèrent peu car tout le monde hurlait pour se faire comprendre. Elle lui dit que Raymond lui passait le bonjour et qu'il fallait garder espoir, qu'il serait acquitté et qu'en sortant ils se marieraient. Elle essayait de combler le silence. Marie souriait sans arrêt. Elle lui parla de son travail. Le jeune homme et sa mère à côté ne se sont presque rien dit. [...]
[...] Deuxième Partie Chapitre 1 : Meursault s'est très vite fait arrêté et il fut rapidement interrogé plusieurs fois. Petit à petit son affaire à intéressée de plus en plus de personnes et le juge l'interrogea. Il le questionna sur sa vie et sur son identité. Puis il lui demanda si il avait un avocat mais Meursault n'en voyait pas l'utilité. Il décida d'accepter l'avocat commis d'office. Meursault trouva ce juge fort sympathique et il allait même lui serrer la main à la fin de leur entrevue mais il s'est vite rappelé qu'il avait tué un homme. [...]
[...] Ce dernier ajouta presque méchamment que le directeur et le personnel de l'asile seraient entendu comme témoins et que cela pouvait lui jouer un sale tour. Mais pour Meursault cette histoire n'avait aucun rapport avec l'assassinat. L'avocat partit un peu fâché et Meursault voulait le retenir pour lui dire qu'il était un homme comme tout le monde et qu'il désirait sa sympathie, mais il pensa que cela ne changerait rien et par paresse il en la pas retenu. Peu de temps après, il était de nouveau conduit chez le directeur. L'avocat était en retard mais Meursault affirma qu'il était capable de répondre seul aux questions. [...]
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