Maj Sjöwall et Per Wahlöö, roman policier, polar, vérité, livre, lecture, littérature, Écrivain suédois, Martin Beck, Le Policier qui rit, lauréat du prix Edgar-Allan-Poe
Chapitre 1 :
Elle est nerveuse alors qu'elle se rend à un rendez-vous. Elle se dirige vers la banque. Elle sait qu'elle va devoir remettre à la semaine prochaine ses projets mais elle veut être débarrassée de l'attente. Une fois seule dans la banque, elle la braque. Alors qu'elle s'apprête à sortir avec son butin, un homme bien habillé se jette sur elle pour la neutraliser. Dans le « combat », elle le tue accidentellement. En sortant, elle fait tout pour marcher calmement mais elle n'y arrive pas : sa peur prend le dessus. Elle a fait le braquage avec une perruque blonde aux cheveux longs, maintenant elle est brune.
[...] Rhéa lui apprend que le meurtre dans une chambre close est un classique des romans policiers. Elle lui explique qu'il y a 3 possibilités pour résoudre un meurtre comme cela : 1. Le crime a été commis dans une pièce qui est réellement fermée à clé et d'où le meurtrier a disparu parce qu'il n'y avait pas de meurtrier à l'intérieur 2. Le crime a été commis dans une pièce qui donne seulement l'impression d'être fermée hermétiquement mais où il existe un moyen plus ou moins astucieux d'en sortir Cas où le meurtrier est encore dans la pièce. [...]
[...] Chapitre 29 : La douille correspond à la balle retrouvée dans le corps de Svärd. L'expert balistique lui demande s'il sait où est l'arme du crime. Beck répond que non mais l'expert lui explique qu'elle est au laboratoire. Beck demande à parler à Mauritzon. Mauritzon clame son innocence à propos du braquage et dit que c'est un coup monté de la police. En 1966, Mauritzon a importé des caisses de liqueur d'Espagne, caisses cassées par Svärd qui voulait en garder le contenu. [...]
[...] Pour le légiste, l'homme s'est suicidé en se tirant une balle dans le cœur. Beck est surpris : les suicidaires ne visent pas le cœur. Pour le légiste, il était mort depuis 2 mois avant que l'on ne trouve le corps. Le légiste ne pense pas que le coup a été tiré à bout portant. Quand Beck lui explique les circonstances dans lesquelles est resté le corps (càd chaleur extrême), le légiste répond alors qu'il est mort depuis un mois. [...]
[...] Mauritzon les a remis à son propriétaire non sans en faire des photocopies au préalable. En échange, il veut un papier signé de la police des stupéfiants comme quoi il est suspect d'aucun trafic et un autre sur lequel il est écrit qu'il a coopérer et qu'il n'y aura pas de poursuite pour complicité. V a envoyé les photocopies dans un hôtel à l'intention d'une personne. Il s'agit d'un nom d'emprunt. Un policier va y aller sous ce nom et muni d'une carte de visite (toujours à ce nom) fournie par Mauritzon. [...]
[...] Cependant, eux n'ont jamais tiré sur qqn, ils les effrayent juste en tirant une balle au plafond. Larsson avoue qu'il trouve cette histoire de voiture louche. Chapitre 11 : La mère de Martin Beck est dans une maison de retraite. Son état empire. Cela lui fait penser au vieillard retrouvé mort. Chapitre 12 : Martin Beck pose deux questions qui le chagrinent à Kenneth Kvastmo, un des deux agents qui avaient pénétré dans l'appartement de Swäd. Puis, Martin Beck va voir la chambre. [...]
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