Albert Camus est né en 1913 et décédé en 1960. Ecrivain français, auteur de « L'Étranger » et de « La Peste », qui fut un des principaux acteurs de la vie intellectuelle de l'après-guerre. Né en Algérie au sein d'une famille modeste, orphelin de père, Albert Camus commença des études de philosophie, mais il dut les interrompre pour raisons de santé (il était atteint de tuberculose). Parallèlement, il commença à participer à des projets dramatiques en adaptant ou en jouant des pièces de théâtre ...
[...] On comprend alors pourquoi ce personnage m'a paru si familier et je pense que j'en prendrai un exemple pour les années à venir. Toutefois, c'est une personne qui est plutôt renfermée (la meilleure preuve est que Tarrou écrit sur des carnets plutôt que de se confier. On ne sait jamais ce qu'il a derrière la tête lorsqu'il parle de la peste ou de quoi que ce soit d'autre. L'exemple le plus frappant est son long monologue que nous avons déjà évoqué. [...]
[...] En 1952, Albert Camus démissionna de son poste à l'Unesco pour manifester sa réprobation devant la passivité de cette institution à l'égard de l'Espagne franquiste. Par la suite, en 1956, il s'engagea de nouveau en tentant d'intervenir en faveur d'une trêve dans la guerre d'Algérie. Il publia ensuite la Chute (1956), où il revenait sur sa rupture avec l'existentialisme, ainsi qu'un recueil de nouvelles, l'Exil et le royaume (1957). La même année, il reçut le prix Nobel de littérature pour «avoir mis en lumière les problèmes se posant de nos jours à la conscience des hommes». [...]
[...] Après un arrêté préfectoral d'un délai de deux semaines, c'est dans une euphorie sans pareille que les portes de la ville se rouvrent enfin. Mais le bacille de la peste ne disparaît jamais complètement et la menace qu'il réapparaisse un jour demeure présente. OPINIONS PERSONNELLES Ce livre, cette chronique pour être plus exact, m'a beaucoup plu par certains aspects, tout en m'ayant déçu par d'autres à un point tel qu'une seconde lecture de ces pages me serait, actuellement, impossible. Non pas que l'histoire ou ce qu'elle dénonce soit inintéressant, mais plus, sans doute, à cause d'un style peut-être trop journalistique, et que je n'ai guère apprécié. [...]
[...] Cette intervention est pleine de bon sens et a donc fait un contraste important à l'introduction. Le père Paneloux : Ce personnage, m'a, dès son entée dans la chronique, paru antipathique, mais sans savoir pourquoi. Tel qu'il est décrit, il ne paraît pas méchant, il a même l'air d'être bonhomme ; c'est le père Paneloux, un jésuite érudit et militant que Rieux avait rencontré quelquefois, et qui était très estimé dans la ville, même parmi ceux qui sont indifférents en matière de religion Il est même à tenir en haute estime si l'on en croit Camus, et pourtant, ce n'était pas ma première impression. [...]
[...] La ville est mise en quarantaine et le docteur Rieux, qui se trouve à l'intérieur se propose de soigner comme il peut les malades, aidé de Tarrou, un homme plein de bonne volonté pour sauver des vies humaines. Ils créent des formations sanitaires, où des volontaires se présentent pour les aider. Malgré le nombre d'aide proposée par la ville, la peste progresse et touche tout le monde. Rieux et Tarrou ne se reposent plus, ils n'ont plus le temps ! Oran change. Le rationnement se fait connaître. Les oranais vivent mal ce cauchemar. Après de multiples efforts, un sérum mis au point par l'éminent docteur Castel fait de l'effet, et peu à peu, la peste recule. [...]
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