theâtre, Molière, le misanthrope, résumé, français, littérature
extrait du document:
Alceste se querelle avec Célimène, qui tolère trop de soupirants ; il voudrait quʼelle fît un choix définitif, mais on annonce de la visite. Les petits marquis, Philinte et Eliante, cousine de Célimène, qui viennent les rejoindre, forment un cercle autour de Célimène, qui brille par son esprit mordant et malveillant.
[...] Arsinoé, qui cherche à consoler Alceste, est vigoureusement remise à sa place ; Alceste, toujours aussi amoureux, pardonnerait, si Célimène voulait dès maintenant et pour jamais renoncer au monde ; lʼamour dʼAlceste doit lui suffire. Célimène, qui accepterait le mariage, par résignation semble-t-il, avoue nʼavoir pas la force dʼâme, à vingt ans, de renoncer aux plaisirs du monde. Alceste rompt avec elle, et déclare partir pour le désert philinte, dont maintenant Eliante accepte la proposition de mariage, espère amener Alceste à renoncer à son dessein. [...]
[...] Acte IV : La jalousie dʼAlceste Philinte raconte à Eliante comment Alceste, toujours fidèle à ses principes, sʼest comporté devant le tribunal des maréchaux ; Eliante laisse deviner un peu dʼinclination pour Alceste ; mais Philinte, très adroitement, lui offre le mariage, pour le cas où Célimène deviendrait la femme dʼAlceste. Le voici justement qui arrive, hors de lui, haletant, tenant à la main un billet que Célimène a écrit pour Oronte. Pour se venger dʼelle, il offre à Eliante de lʼépouser. Il lui annonce sa rupture immédiate avec Célimène. [...]
[...] Alceste sʼest fait un ennemi de plus. Acte II : Alceste et les médisances mondaines Alceste se querelle avec Célimène, qui tolère trop de soupirants ; il voudrait quʼelle fît un choix définitif, mais on annonce de la visite. Les petits marquis, Philinte et Eliante, cousine de Célimène, qui viennent les rejoindre, forment un cercle autour de Célimène, qui brille par son esprit mordant et malveillant. Alceste, boudeur, longtemps silencieux, éclate contre la médisance que la flatterie entretient chez Célimène ; la discussion sʼaigrit, et Alceste reproche, devant tout le monde, à Célimène, ses nombreux défauts. [...]
[...] Son ami, Philinte, aussi sévère que lui dans son jugement sur les hommes, prône une attitude plus indulgente, et surtout plus souple ; il exhorte Alceste, qui, misanthrope, sʼest épris dʼune coquette, dʼune mondaine comme Célimène. Le hasard oblige alors Alceste à mettre ses théories en pratique ; il vient dʼaffirmer quʼil faut toujours dire la vérité, et voilà quʼun auteur précieux, un gentilhomme poète, vient, après lʼavoir accablé sous les flatteries, lui demander son avis sur un sonnet ; Philinte fait les compliments dʼusage, et Alceste essaie de démontrer à Oronte que , gentilhomme, il ne doit pas se ridiculiser en publiant des vers aussi mauvais ; il oppose au goût précieux le naturel de la chanson du roi Henri ; la scène finit sur une querelle. [...]
[...] Lʼarrivée de son laquais, qui vient chercher son maître pour une grave affaire, lʼempêche de demander à Célimène de prendre définitivement parti. Acte V : Alceste et Célimène Alceste a perdu son procès ; il a failli être victime dʼune affreuse calomnie ; sa misanthropie est totale ; il a décidé de fuir la société, pour laquelle il nʼest pas fait, mais il espère encore en lʼamour de Célimène. Il se joint à Oronte pour lʼobliger à se déclarer nettement ; Célimène est très embarrassée, quand surviennent les deux marquis, accompagnés dʼArsinoé. [...]
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