Requiem à Saint-Éloi, Philippe Masselot, roman policier, éditions de L’Ecailler, polar, romancier
Philippe Masselot enseigne l'anglais au lycée professionnel Voltaire.
Spécialiste reconnu dans le monde du polar, il nous emmène en terre du Nord au travers d'intrigues où se mêlent indifféremment réel et imaginaire.
Il se décide à présenter ses premiers manuscrits aux alentours de 2002, et un polar voit enfin le jour en 2003, Septentrion Blues. Édité par plusieurs éditeurs régionaux et réédité ensuite par les Éditions du Riffle, installées à Hem, il a également participé à plusieurs recueils de nouvelles : Les Délicieux Beffrois, le Nord de la Frite…
[...] Requiem à Saint-Éloi Philippe Masselot Philippe Masselot Sa biographie Philippe Masselot enseigne l'anglais au Lycée Professionnel Voltaire. Spécialiste reconnu dans le monde du polar, il nous emmène en terre du Nord au travers d'intrigues où se mêlent indifféremment réel et imaginaire. Il se décide à présenter ses premiers manuscrits aux alentours de 2002, et un polar voit enfin le jour en 2003, Septentrion Blues. Édité par plusieurs éditeurs régionaux et réédité ensuite par les Éditions du Riffle, installées à Hem, il a également participé à plusieurs recueils de nouvelles : Les Délicieux Beffrois, le Nord de la Frite En mai 2009 il édite Requiem à Saint Éloi, aux éditions de L'Ecailler. [...]
[...] On revient sur le fait que ce soit les Hooligans. Un troisième meurtre y été aussi recensées, avec le même mode opératoire que les deux précédents, avec la croix rouge sur le corps. A mon avis dans le gang des Hooligans, ce trouve un tueur en série, avec son propre mode opératoire. Il y eut encore un nouveau meurtre, mais pas de corps, juste 3 litres de sang dans la maison. Il retrouva Julie, une amie d'enfance qui quelque temps plus tard invita Quartafeira chez elle qui, en arrivant chez elle, fut atteinte par un snipper et décède quelque temps plus tard sur le trajet à l'hôpital. [...]
[...] Trevor machin a tenté de prendre un ferry pour Douvres, au même moment d'être repéré par la police. Pour en finir, c'était Sylvain Lapierre l'assassin, et non Trevor, ni même les Hooligans. Mon avis : Dès la première page on est directement plongé dans l'histoire, au premier chapitre, on a directement l'après-meurtre et au second, je trouve qu'on passe carrément à autre chose. Pour résumer mon avis en un mot : j'ai adoré. Comme je regarde, les policiers, Requiem à Saint-Éloi ressemblerait plutôt à une enquête de Montalbano sur France 3. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture