La Princesse De Clèves, Mme De La Fayette, rencontre, Mr De Nemours, extrait de la fin du roman
Le roman de « La Princesse De Clèves » est écrit par Mme De La Fayette, il a été publié en 1678. Mme De La Fayette, de son nom de mariage, est née en 1634. En 1651, alors qu'elle n'a que 17 ans, elle est demoiselle d'honneur de la reine ; Anne D'Autriche. Elle commence à écrire en 1670, des romans, des nouvelles, sans signer ses œuvres, estimant qu'une personne de son rang ne doit pas écrire. Puis en 1678, elle publie le roman ; « La Princesse De Clèves ». L'action du roman se déroule dans les dernières années du règne de Henri Second (1519-1559). Cette période est donc antérieure à celle de Mme De La Fayette ainsi qu'aux lecteurs qui lisent un livre dont l'action s'est passée bien avant leur époque.
[...] Lecture analytique : La Princesse De Clèves, Mme De La Fayette La rencontre entre Mr De Nemours et Mme De Clèves ; dernière partie du roman Le roman de La Princesse De Clèves est écrit par Mme De La Fayette, il a été publié en 1678. Mme De La Fayette, de son no, de mariage, est née en 1634. En 1651, alors qu'elle n'a que 17 ans, elle est demoiselle d'honneur de la reine ; Anne D'Autriche. Elle commence à écrire en 1670, des romans, des nouvelles, sans signer ses œuvres, estimant qu'une personne de son rang ne doit pas écrire. [...]
[...] Ce texte compare Mme De Clèves et Mr De Nemours. Cette conversation permet de les opposer, au niveau des sentiments, de leur sensibilité. Beaucoup de verbes sont conjugués au conditionnel, mais ne veulent pas die l même chose. Mr De Nemours utilise le conditionnel pour remettre en cause le passé. Quand il l'utilise au début, ils posent des questions rhétoriques. Alors que lorsque Mme De Clèves, l'utilise, cela révèle la peur de ne plus être aimé par Mr De Nemours. [...]
[...] Pour Mr De Nemours, aucune femme n'est aussi parfaite que Mme De Clèves. Mr De Nemours ne peut craindre une infidélité de la part de Mme De Clèves. A la fin de l'extrait, Mme De Clèves dévoile ses sentiments, sa passion mais revendique sa modestie (bien qu'un homme l'aime), elle est lucide (=permet de faire un portrait de soi au plus juste et des faits au plus juste). En effet, elle dévoile sa passion, mais aussi son devoir (même si son marie est mort), par fidélité à son mari (jusqu'au bout), elle ne peut pas aimer Mr De Nemours (elle fait preuve de lucidité). [...]
[...] Entre eux, des sentiments très forts et réciproques. Mme De Clèves, n'aime pas son mari mais celui-ci est fou amoureux de sa femme, qui, elle, ne peut se résoudre à tromper son mari. Pour cette raison, et surement pour se protéger de la tentation (de le tromper), elle lui dit tout, son mari va alors se laisser mourir, rongé par le chagrin et la jalousie. Après sa mort, sa veuve ne résistera toujours pas à Mr De Nemours, même si elle lui avoue son amour. [...]
[...] Avec ce présent, Mr De Nemours met en valeur les qualités de Mme De Clèves, en faisant d'elle une exception. Le présent de vérité général n'est pas utilisé de la même façon des deux côtés. En effet, Mme De Clèves ne fait pas d'exception, elle place Mr De Nemours dans la même catégorie que les autres hommes. Mme De Clèves est pour Mr De Nemours au dessus des autres femmes. Axe III : Langage et sentiment A cette époque, le code de bienséance régit le langage. [...]
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