La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette, résumé de l'oeuvre, duc de Nemours, cour de France d'Henri II, Mlle de Chartres, vertu amoureuse, Monsieur de Sancerre, fiche de lecture
Automne 1558. Après un tableau hyperbolique de la cour du roi Henri II située au Louvre et une évocation politique, la somptueuse Mlle de Chartres paraît à la cour. Jeune orpheline de 16 ans, elle a été élevée par sa mère qui lui a forgé un caractère très vertueux, grâce à des préceptes de fidélité et de vertu et une mise en garde dès son plus jeune âge sur les dangers des sentiments amoureux. Un jour, alors qu'elle se rend chez un joaillier pour assortir des pierreries, Mlle de Chartres rencontre le prince de Clèves. Ébloui par sa beauté, celui-ci en tombe immédiatement amoureux fou bien qu'il ignore son nom.
Après quelques recherches, il finit par retrouver sa trace et son nom et s'empresse de la demander en mariage. Bien qu'elle n'éprouve ni amour ni même attirance pour lui et alors que le prince se plaint à elle de son indifférence, Mlle de Chartres consent à ce mariage de raison. Conscient de cette absence de sentiments et peiné, son époux ne peut que s'en accommoder. À la cour, lors d'un bal donné en l'honneur des fiançailles de Claude de France, la désormais princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, illustre prince connu dans toute l'Europe.
[...] Suite à l'imprudence du duc, par un concours de quiproquos et d'aveux, l'histoire est bientôt de notoriété publique et jette un vent de discorde dans le couple de Clèves, chacun soupçonnant l'autre d'avoir trahi le sujet de leur conversation. Le duc de Nemours, monsieur et madame de Clèves sont alors soumis aux soupçons, remords, reproches et aux plus cruels des troubles de la passion. C'est à cette époque que le roi meurt lors d'un tournoi. IV. Quatrième Partie Alors que le nouveau roi est couronné à Reims, madame de Clèves se retire à la campagne. Suivis par le duc de Nemours, ils ne savent pas qu'ils sont épiés par un espion à la solde de monsieur de Clèves. [...]
[...] Le roi les invite à danser l'un avec l'autre : une passion réciproque naît. Madame de Chartres s'en aperçoit et, alors même que cet amour ne fait que s'embraser chez sa fille, elle réitère sa mise en garde contre les dangers d'une telle liaison et lui demande de la refouler. Après le décès de cette dernière, fidèle à la promesse faite alors qu'elle était mourante, Mme de Clèves se retire à la campagne afin de lutter contre ses sentiments pour le duc de Nemours. [...]
[...] Rentrée à Paris à la demande son mari, Mme de Clèves se rend compte que ses sentiments pour le duc de Nemours n'ont en rien faibli, contrairement à ce qu'elle croyait. En effet, elle n'éprouve qu'émotion et tendresse pour cet homme qui, par amour pour elle, est prêt à renoncer à son espoir de couronne. Néanmoins, sous l'emprise de ses sentiments, elle se jure de se maîtriser et souhaite retourner se retirer à la campagne, ce que son mari lui interdit. Puis, le duc de Nemours dérobe son portrait. L'ayant vu, elle préfère ne rien lui dire, par peur de dévoiler publiquement ses sentiments et d'avoir à affronter une déclaration. [...]
[...] Goûtant ce moment de relative intimité, madame de Clèves constate cependant l'intensité de ses sentiments et de ses remords. Malgré les reproches de son mari, elle décide immédiatement de repartir à la campagne. En présence du duc caché, elle décide de révéler à son mari qu'elle est éprise d'un autre homme, mais refuse d'en dévoiler le nom. Si dans un premier temps monsieur de Clèves est tranquillisé par la sincérité de son épouse, bien vite sa colère le submerge et il cherche à découvrir le nom de l'homme dont sa femme est éprise. [...]
[...] La Princesse de Clèves - Madame de La Fayette : résumé de l'œuvre L'action du roman s'étend sur une année. C'est la période qui couvre les derniers mois du règne d'Henri II et les premiers de celui de François II. La trame du roman est apparemment très simple. Les événements se succèdent en suivant la chronologie. I. Première Partie Automne 1558. Après un tableau hyperbolique de la cour du roi Henri II située au Louvre et une évocation politique, la somptueuse Mlle de Chartres paraît à la cour. [...]
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