La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette, roman précieux, amour, religion, vertu, jansénisme, Cour d'Henri II, passion, jalousie, couvent, mort, Madame Bovary, Gustave Flaubert, Les Liaisons dangereuses, Pierre Choderlos de Laclos, éducation
La Princesse de Clèves est un personnage magnifié (« une apparition divine »), grande héritière et modèle de vertu de par son éducation stricte. La jeune femme est éduquée pour le mariage. Tout au long du roman, ce personnage est tiraillé entre sa passion et sa vertu.
[...] La jeune femme est éduquée pour le mariage. Tout au long du roman, ce personnage est tiraillé entre sa passion et sa vertu Le Duc de Nemours : cumule les conquêtes féminines et représente la galanterie, mais il est métamorphosé lorsqu'il rencontre la Princesse. Néanmoins, sa passion finit par s'éteindre après que la princesse se soit retirée au couvent. Madame de Chartres : veuve, elle s'efforce de donner la meilleure éducation possible, selon elle, à sa fille. Elle ne cessera jamais de vanter les mérites d'un mariage. [...]
[...] Citations - « Les passions peuvent me conduire, mais elles ne sauraient m'aveugler » - « Si vous jugez sur les apparences, vous serez souvent trompé : ce qui paraît n'est presque jamais la vérité » - « les paroles les plus obscures d'un homme qui plaît donnent plus d'agitation que des déclarations ouvertes d'un homme qui ne plaît pas » - « L'on est bien faible quand on est amoureux » Textes complémentaires - Madame Bovary - Gustave Flaubert (1857) Emma Bovary n'aime pas son mari et va donc tuer son ennui avec son amant, Rodolphe. - Les Liaisons dangereuses - Pierre Choderlos de Laclos (1782) Exemple d'individus vivant hors des codes de la société. [...]
[...] Le Prince de Clèves meurt de chagrin et pardonne à sa femme. Dévastée, la Princesse se retire au couvent. Quelques mois plus tard, elle apprend que le Duc cherche à la revoir, mais elle refuse et choisit donc de rester fidèle à sa vertu. Analyse des thèmes - La Cour : monde d'illusions et d'apparences où règnent le double jeu et la dissimulation. « Si vous jugez sur les apparences en ce lieu-cy, vous serez trompé : ce qui paraît n'est presque jamais la vérité » = espace antireligieux - La passion : elle est liée dans le roman au danger, au tourment, à la jalousie et même à la mort. [...]
[...] Troisième partie Après avoir rédigé une lettre avec le Duc, la Princesse se rend compte qu'elle est amoureuse du Duc elle se retire à la campagne pour fuir ses sentiments et avoue à son mari qu'elle aime quelqu'un d'autre. Le Duc les a suivis et apprends donc qu'il est aimé il en parle au Vidame qui fait circuler l'information jusqu'à revenir aux oreilles de la Princesse. Celle-ci accuse son mari d'indiscrétion et vice-versa. Ainsi, le Prince comprend qui est son rival. Cette partie se termine par la mort du Roi. Quatrième partie Le Prince se rend à une festivité, et, pendant ce temps, le Duc part voir la Princesse. Le Prince envoie un espion pour surveiller sa femme. [...]
[...] Cette première partie s'achève avec la mort de Madame de Chartres, qui prévient sa fille des dangers de la passion, ayant remarqué l'attirance de la princesse envers le Duc. Deuxième partie Un ami du Prince lui apprend que sa femme avait un amant le Prince le raconte à sa femme et lui dit que pour lui rien n'est plus important que la sincérité et que toute faute avouée peut être pardonnée. Le Duc vole un portrait de Madame de Clèves celle-ci comprend donc que le Duc est amoureux d'elle. [...]
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