Princesse de Clèves, Madame de La Fayette, Monsieur de Nemours, mademoiselle de Chartres, galanterie, amants, mariage, jalousie, passion
Cette histoire se déroule dans la moitié du XVIe siècle à la cour du roi Henri II et son successeur François II. Elle raconte l'arrivée de Mademoiselle de Chartres, jeune orpheline tout juste âgée de 15 ans élevée dans les codes de la haute société par Madame de Chartres (qui était la compagne de son père décédé) qui possédait un mérite et une vertu extraordinaires qu'elle a su lui transmettre en plus de cultiver son esprit et sa beauté pendant les nombreuses années qu'elles passèrent loin de la cour. Pour un résumé simple, elle va se marier avec le prince de Clèves qui était très amoureux d'elle, mais ces sentiments n'étaient pas partagés. Elle va s'éprendre du duc de Nemours et va essayer de repousser cette passion pendant tout le roman. Leur histoire est entrecoupée de l'histoire « actuelle » et passée de la cour, française ainsi qu'étrangère.
[...] Il apprit la nouvelle de sa mort imminente avec beaucoup de fermeté. Quatrième partie Finalement, le devoir de monsieur de Clèves en Espagne fut annulé ; l'occasion pour madame de se retirer discrètement de la cour s'évapora. Le couronnement de François II à Reims allait bientôt avoir lieu, mais elle se sentit incapable de suivre toute la cour, alors elle décida avec l'accord de son mari de repartir à Coulommiers. Elle refusa de revoir monsieur de Nemours avant son départ mais il lui manquait de plus en plus. [...]
[...] Mais plus tard il put enfin la voir grâce à sa sœur madame de Mercœur, elle montra une grande froideur en premier lieu et trouva le moyen de partir pour éviter de rester seule avec lui à la fin. Alors, il fut triste et dû repartir à Chambors là où était la cour. Pendant tout ce temps, l'espion envoyé par son mari était là, et décida de repartir avant monsieur de Nemours pour pouvoir conter ce qu'il avait vu, rapidement car son maître ne voulut point en savoir davantage ; il vit la possibilité que sa femme l'ait trompé comme une certitude, et le désespoir causé par ce récit fut un des plus violents. [...]
[...] Quant à monsieur de Nemours, c'était le contraire, il fit tout ce qui était possible pour la voir et éviter les assemblées où elle n'était pas. Un jour, il déroba même un portait de la princesse de Clèves (en effet la reine dauphine faisait des portraits de toutes les belles personnes de la cour pour les envoyer à la reine sa mère. Lors de la fabrication du portrait de Madame de Clèves, son mari avait en avait apporté un qu'il possédait lui-même pour comparaison. [...]
[...] Il élabora un plan qui consistait à les inviter tous deux chez lui puis les laisser seuls. Ils entamèrent donc une conversation où ils s'avouèrent tout, même quand monsieur de Nemours avait espionné le couple lorsque madame avait dit ses sentiments. Elle lui dit également son amour, mais qu'elle ne pourrait y donner suite, puisque son devoir l'en empêchait. Ce devoir consistait à ne penser à personne d'autre que son mari, encore moins celui qui était la cause de sa mort. [...]
[...] La Princesse de Clèves - Madame de La Fayette (1678) - Résumé par parties La magnificence et la galanterie n'ont jamais paru en France avant tant d'éclat , voici comment commence ce roman publié au XVIIe siècle d'environ 240 pages divisées en 4 parties et écrit par Marie-Madeleine de La Fayette. L'auteure est née en 1634 et est morte en 1663 à Paris, issue d'une famille aisée elle était dans l'entourage de Richelieu. Elle commencera plus tard à se faire inviter dans les salons et à étudier la littérature (cela grâce à Ménage, grammairien et écrivain qui l'a aidée pendant presque toute sa vie) ; son œuvre la plus célèbre est celle dont nous parlons aujourd'hui, qu'elle avait publié anonymement. [...]
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