Violence du récit, Phèdre, immersion des spectateurs, explosion de violence, combat
Exemple : Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros:
-les « e » se prononcent,
- le « e » muet qui est à la fin d'un mot doit se prononcer lorsque le mot suivant commence par une consonne.
Exemple : De rage et de douleur, le monstre bondissant:
-le « e » de rage ne se prononce pas et le « e » de monstre se prononce,
-le « e » muet suivis d'un mot commençant par une voyelle, ne se prononce pas.
-la violence du récit : ce récit se caractérise en premier lieu par sa violence.
[...] que), elle souligne la chute du héros. C'est une façon pour Racine que l'horreur suscite le corps d'Hippolyte son corps est couvert de plaie mais nous n'avons pas de détails. -Les détails de sa mort se porte sur le paysage, il présente les traces de sa mort vers 3à à 32. Racine procède par suggestions. Nous avons l'impression d'une mort extrêmement violente car il fait des allusions aux paysages les rochers en sont teints,les ronces dégoûtantes portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes les restes d'Hippolyte ( sang,cheveux) sont visible dans ce paysage. [...]
[...] Neptune vient piquer les flancs des chevaux pour précipiter la chute d'Hippolyte. Ainsi une cohérence apparaît depuis les javelots arrête ses coursiers, saisit ses javelots pousse au monstre,et d'un dard lancé d'une main sure Un Dieu qui d'aiguillons pressait leur flanc poudreux a travers les rochers la peur les précipite les rochers en sont teints,les ronces dégoûtantes tous ces éléments contribue à créer un univers hostile et violent. le corps meurtri d'Hippolyte -les conditions de la mort d'Hippolyte sont rapporté explicitement vers 9 à 24. [...]
[...] Ainsi il est interdit de représenter sur scène des actions violentes ou choquante : bienséance. Cependant le récit de Théramène se caractérise par sa violence : 1-La violence du récit : une scène d'effroi A-L'immersion du spectateurs l'immersion spectateurs dans la violence du combat. C'est un long récit qui n'est pas interrompues ( tirade). Cet tirade est écrite au présent. Il s'agit du présent de narration : Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros l'emploie de ce présent associe le lecteur et le spectateur à l'événement, fait vivre aux spectateurs la mort d'Hippolyte. [...]
[...] Hippolyte est dans la hiérarchie des hommes. de son généreux sang . cet phrase à un sens noble. -Il manifeste un courage hors du commun ( vers lui seul contrairement aux autres il l'affronte seul, tout le monde fuit. Sa détermination se voit dans les vers 1 à 4 mains sûre souligne la bravoure du guerrier . Tout dans ce passage signifie Hippolyte n'a pas peur. -Hippolyte à également de la grandeur d''âme, cette grandeur se manifeste dans ces derniers mots : il ne songe pas à se révolter contre son père, il ne se lamente pas sur son sort au contraire il se soucie sur la femme qu'il aime vers 35 à 41 Conclusion : C'est un héros noble. [...]
[...] Monologue : long discours d'un personnage seul sur scène. Allitération : répétition d'une consonne dans un texte. Assonance : répétition d'une voyelle. B-une explosion de violence Du vers 1 à 25, on a une impression d'accélération : les actions se multiplient : -l'assaut d'Hippolyte contre le monstre ( vers 1 à 4 ) -chute du monstre aux pieds des chevaux ( vers 5 à 8 ) -course effrénée des chevaux jusqu'au moment ou le char se brise dans les rochers Toutes ses actions sont rapportés en peu de temps et l'impression d'accélération est renforcée par un certain nombre de vers ( précipiter, courir, voler . [...]
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