La Peste - Albert Camus (1947) - publié le 23/04/2013

Thèmes abordés

La Peste, Albert Camus, ville algérienne de Oran, épidémie de la peste, Bernard Rieux

Résumé du document

Albert Camus est né le 7 novembre 1913 à Mondovi en Algérie où il a vécu. Son père qui est un des descendants des premiers colons français travaille alors comme caviste dans un domaine viticole. Blessé à la bataille de la Marne, il est hospitalisé dans la capitale où il décède en 1914. Albert Camus grandi donc sans son père. Sa mère qui est partiellement sourde ainsi qu'analphabète se rend chez sa mère où vivent également ses frères. Albert Camus grandit avec l'influence de son oncle voltairien qui, étant cultivé, subvient aux besoins de son neveux et participe à lui constituer une bibliothèque riche et variée. C'est son instituteur de l'école communale qui le repère et contribue grandement à son éducation et sa future orientation, Albert Camus lui dédie son discours du prix Nobel qui lui est décerné en 1957. On lui détecte la tuberculose durant ses années de lycée où il a honte de la pauvreté de sa famille. Il se montre anticolonialiste et adhère au Parti Communiste Algérien.

Extraits

[...] Il obtient le prix Nobel de littérature en 1957 et décède le 4 janvier 1960 en France à Villeblevin. Le roman La Peste est publié deux ans après la Seconde Guerre Mondiale, en 1947 c'est à dire au XXeme. Albert Camus est un chef de file du mouvement littéraire de l'existentialisme aux côtés de Jean Paul Sartre et bien d'autres. Les thèmes les plus abordés durant cette période sont : la peur, l'ennui, l'absurde, la liberté, l'engagement, le néant . avec une grande présence de philosophie dans les œuvres littéraires de cette époque. [...]

[...] Visée didactique qui amène des connaissance sur l'épidémie de la peste. Ce livre est intéressant tout d'abord par la multitude d'aspect que nous venons de voir. C'est également une histoire intéressante en plusieurs étapes, avec le mystère de la narration. Le fait que ce ne soit pas un récit historique nous fait envier la fin que l'on ignore bien qu'elle soit romancée. Ce roman est original par une métaphore qui suit tout l'histoire et qui donne envie de lire une deuxième fois le livre avec les sens cachés. [...]

[...] Albert Camus grandi donc sans son père. Sa mère qui est partiellement sourde ainsi qu'analphabète se rend chez sa mère où vivent également ses frères. Albert Camus grandit avec l'influence de son oncle voltairien qui, étant cultivé, subvient aux besoins de son neveux et participe à lui constituer une bibliothèque riche et variée. C'est son instituteur de l'école communale qui le repère et contribue grandement à son éducation et sa future orientation, Albert Camus lui dédie son discours du prix Nobel qui lui est décerné en 1957. [...]

[...] L'histoire même est inspirée de ses événements personnel, en effet, on l'identifier à Rambert qui est enfermé loin des siens comme l'auteur qui est contraint de rester en métropole à partir de 1945. Camus utilise vraisemblablement la peste pour parler en toute liberté du nazisme qui vient d'être anihilé. Cette métaphore est représentée par les équipes sanitaires qui semblent être des Résistants ou encore les fosses pour les enterrements ou le couvre feu, éléments historiques L'œuvre Ce livre est un roman qui est écrit sous forme de chronique avec des témoignages faussement historiques bien que l'auteur s'appuie sur des éléments ayant exister, il se montre également symbolique et philosophique. [...]

[...] L'histoire se passe dans un espace confiné qui est la ville algérienne de Oran, colonie française à cette époque. L'auteur à choisie ce lieu pour des raisons personnelles certainement liées à celui de son enfance. C'est également un lieu propice à une propagation de l'épidémie de la peste avec un climat élevé. Le lieu est neutre, ce qui reflète le côté universelle de l'histoire, en effet, l'épidémie (ou au sens métaphorique le nazisme) peut frapper partout. Cette dimension est doublée par l'aspect tranquille de la ville que le narrateur fais au début du roman, dans les premières pages. [...]