Au cours d'une partie de chasse, son passe-temps favori, il s'égare et rencontre « par hasard ou par destinée », dans un décor idyllique, une jeune bergère qui partageait une modeste chaumière avec son père. Il voit en elle, « l'objet le plus agréable » et tombe sous le charme. Il décide de l'épouser mais prend soin de lui faire jurer qu'elle (...)
[...] La première fée lui offre la beauté, la deuxième, l'intelligence, la troisième, la grâce, la quatrième l'art de la danse, la cinquième, l'art du chant, la sixième, l'art de la musique ; la vieille fée prédit qu'elle se piquera avec un fuseau et qu'elle en mourra ; la jeune fée confirme la piqûre mais affirme que la princesse se réveillera après un long sommeil de cent ans. Pour éviter que ce destin ne se réalise, le roi proclame une loi interdisant tout fuseau dans la région. Seize ans plus tard, alors que ses parents sont absents, la jeune princesse découvre dans le palais l'existence d'une vieille servante qui, ignorante de l'édit du roi, filait. Curieuse, la princesse veut apprendre à se servir de cet objet si nouveau pour elle, elle se pique et tombe endormie. [...]
[...] Aussi élabore-t-il un stratagème pour le moins surprenant puisqu'il s'agit, une fois de plus de mettre Griselidis à l'épreuve. Il annonce qu'il va épouser une jeune fille, car il est temps pour lui de penser à sa succession. Il renvoie Griselidis dans sa chaumière ; elle accepte avec toujours autant de douceur : Vous êtes mon Époux, mon Seigneur et mon Maître / [ ] rien ne m'est si cher que de vous obéir. La veille de son mariage, il fait venir Griselidis au palais pour qu'elle se charge des préparatifs des noces qu'il veut les plus belles et pour qu'elle rencontre celle qui lui va lui prendre sa place. [...]
[...] Ce qu'elle fit et ils se marièrent. Le Petit Poucet Une année de grande famine, un couple de bûcherons très pauvres se voient contraints d'abandonner leurs sept enfants, âgés de 7 à 1O ans, dans la forêt, car ils n'ont pas le courage de les voir mourir de faim. Mais le plus jeune, très avisé, ayant tout entendu du projet de ses parents, décide d'anticiper : il va ramasser des petits cailloux qu'il sème tout le long du chemin, aussi ses frères et lui regagnent-ils la maison paternelle sans aucune difficulté. [...]
[...] Dés lors, elle erre et vit dans la plus grande précarité jusqu'à ce qu'elle soit acceptée dans la métairie d'un roi qui cherchait une souillon pour laver le linge et nettoyer la bauge des cochons. Peau d'Âne devient le souffre-douleur de toute la ferme, et elle supporte toutes les humiliations. Un jour, le fils du roi vint à passer au retour de la chasse et Peau d'Âne le remarque. Un autre jour, le fils du roi aperçoit la jeune princesse alors qu'elle était dans sa chambre. Or c'était un jour de fête et comme tous les dimanches, elle sortait de sa malle ses plus belles robes. [...]
[...] Pour consoler la première, la fée lui accorde le don de métamorphoser la laideur en beauté. L'aînée est délaissée de tous tandis que la seconde est très adulée et toujours en bonne compagnie. Un jour que l'aînée se promenait seule, elle rencontre Riquet à la Houppe qui était à sa recherche tant il avait été séduit par les portraits qu'il avait vus d'elle et comme elle se désole d'être bête, il use de son don et lui donne tout l'esprit qu'elle souhaite, en compensation elle s'engage à l'épouser toutefois il lui laisse un an pour réfléchir. [...]
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