Jean-Baptiste Grenouille :
Il voit le jour 17 juillet 1738 à Paris. Il possède un odorat des plus fins et discerne le monde qui l'entoure surtout à l'aide de son nez. Il se consacre à sa véritable passion, la chasse aux parfums et n'hésite pas à assassiner plusieurs jeunes femmes pour atteindre son objectif.
Il ne recherche ni reconnaissance, ni fortune. Il vit replié sur lui-même et n'a nul besoin d'affection, de tendresse ou d'amour. Il est indifférent à tout être humain.
Il est docile, obéissant et très bon employé. Il a de l'ambition et des idées de grandeur du fait du but qu'il s'est fixé (...)
[...] Le succès a la puissance et l'évidence d'un phénomène de la nature. Le talent n'est presque rien et l'expérience est tout, que l'on acquiert à force de modestie et de travail. Qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur de l'humanité. AVIS PERSONNEL : Le récit : J'ai trouvé cette œuvre incroyable et d'une grande originalité. L'univers du parfum est admirablement retranscrit dans la première partie de ce roman, C'est fascinant de se plonger dans cette atmosphère étrange, avec une description très complète du domaine des odeurs. [...]
[...] Grimald fête tellement le départ de Jean-Baptiste qu'il en meurt noyé dans la Seine. Les projets de Baldini se révèlent possible et il devient immensément riche. Il enseigne au jeune garçon les bases de la parfumerie et particulièrement la distillation. Après de nombreux essais, le jeune homme comprend qu'il ne peut pas créer toutes les senteurs qu'il souhaite. Il met donc un terme à ces projets de distillation et tombe gravement malade. Apprenant qu'il existe à Grasse des techniques d'extraction autre que la distillation, Grenouille se remet vite de cette maladie. [...]
[...] Partie IV Grenouille, pendant son voyage, souhaite seulement retourner à Paris pour mourir. Son flacon est encore plein, il a un grand pouvoir entre les mains mais il se fiche de tout cela car il ne veut qu'une odeur. Le 25 juin 1767, le jeune homme arrive à Paris. Sur la place, il ouvre la bouteille de parfum et s'en asperge de la tête au pied. Les gens sont involontairement attiré, ils ne peuvent pas contrer cette attraction. Ils le plaquent à terre et découpent sa peau puis le dévorent. [...]
[...] Guiseppe Baldini : Mr Baldini est parfumeur de métier. Au bord de la faillite et en mal d'inspiration, il n'est connu que pour des parfums hérités de son père. Baldini meurt dans l'effondrement de sa maison, juste après avoir accordé à Jean-Baptiste son brevet de compagnon, une nuit de printemps 1756. Le marquis de la Taillade Espinasse : Homme d'une quarantaine d'années vivant à Montpellier. Il se consacre entièrement aux sciences. Le Marquis meurt lors de l'ascension du pic du Canigon. [...]
[...] Il simule un départ pour Grenoble mais change de direction, il espère ainsi atteindre le couvent de Saint Honora. Il souhaite marier sa fille le plus vite possible pour qu'elle ne convienne plus au meurtrier. Grenouille admire les vingt quatre flacons contenant les odeurs des jeunes filles assassinées. Le jour même, il ira chercher la dernière pièce de sa collection. Il sera ainsi en possession de toutes les senteurs nécessaires à la création du parfum le plus exquis du monde. Mais ce matin-là, le parfum a disparu, il part vers le Sud, se dirigeant grâce à son nez. [...]
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