L'histoire débute en l'an 2000. Joss Le Guern, un breton, se reconvertit en crieur sur les conseils de son arrière-grand-père qui lui « rend visite » de temps à autres. Il dépose une urne à un arbre, et, trois fois par jour, il lit les annonces que les gens ont déposées anonymement dans l'urne contre 5 francs, sur la place Edgar-Quinet. Ce procédé attire les curieux. Mais un jour, il commence à recevoir des messages intrigants, en vieux français, ou même en latin. Ces messages interpellent Decambrais, qui parviendra à faire le lien entre eux : ils sont tous tirés d'ouvrages traitant de la Peste (...)
[...] Il est très innocent et docile, son père le battait lorsqu'il était plus jeune. Kevin Roubaud : Une des 8 personnes qui ont torturé Damas. Il a reconnu les victimes dans la presse et sait que le tueur court après lui. A très peur pour sa vie et avoue à Adamsberg qu'ils ont torturé Damas, et c'est grâce à lui que commissaire retrouve le lien entre les victimes. Danglard : Officier d'Adamsberg, très cultivé. Camille : fiancée d'Adamsberg. Lizbeth, Eva, Castillon : Hôtes de Decambrais. [...]
[...] Et comme il le redoute après la lecture d'un des messages, un premier corps apparaît : il est étranglé, nu et recouvert de charbon. On retrouve des puces de rats, sur et chez lui, mais, bien que la mise en scène puisse ressembler à une mort causée par la peste, l'homme a bien été assassiné. S'en suivent 2 autres morts simultanées. Puis un mystérieux message envoie le commissaire jusqu'à Marseille. Le seul lien que puisse faire le commissaire jusque là est que les victimes ont toutes vécu à Paris il y a 7 ou 8 ans, et font partie de la même génération. [...]
[...] Il collabore avec sa grand-mère, Clémentine Journot. Clémentine Journot : Elève les rats fournissant les puces dans son grenier et a une multitude d'ouvrages sur la peste. C'est d'elle que Damas tient son diamant censé le protéger. Sa famille a échappé à la peste de 1920 alors que tous ses voisins ont été tués. Marie Belle Hurfin : Fille illégitime du père de Damas. Demi-sœur de Damas. A commandité tous les meurtres, afin de faire plonger Damas et de toucher la fortune de son père, un très riche industriel de l'aéronautique. [...]
[...] La police ne dévoile pas que les messages parlent de la peste, mais les journalistes le découvrent eux-mêmes, et les gens pensent alors que la police leur cache des choses et qu'il y a en effet la peste en ville. Ils ne veulent alors plus croire en la thèse de la strangulation et cela crée alors la psychose, d'abord dans 22000 immeubles à Paris, puis dans 4000 immeubles à Marseille. De plus, la population apprend qu'on lui a caché l'épidémie de peste en 1920, alors que 34 personnes sont mortes et 86 contaminées. Elle craint que cela ne se reproduise. [...]
[...] Le titre Le tueur annonce ses victimes en peignant sur toutes les portes de son immeuble un 4 à l' envers, symbole que les gens peignaient dans le passé pour se protéger de la peste. Il ajoutait en bas à droite les lettres CLT Marc Vandoosler annonce à Adamsberg qu'il s'agit d'un électuaire, cité dans tous les traités de peste du passé. Cito longe fuegas et tarde redeas signifie Fuis vite, longtemps et reviens tard. Il est considéré comme le meilleur des remèdes contre la peste, et est appelé le remède des trois adverbes : Vite, Loing, Longtemps (en vieux français), ce qui donne en latin Cito, Longe, Tarde d'où CLT. [...]
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