Quand la compagnie de Paul reçoit un court répit après deux semaines de combat, seulement 80 hommes sont encore vivants. A l'arrière, les soldats ont de quoi manger et de quoi boire. Paul et ses amis font la visite de Kemmerich, un ancien camarade de classe, qui a eu récemment la jambe amputée à cause de la gangrène. Kemmerich meurt à petit feu et Müller désirerait qu'il lui donne ses chaussures. Paul ne considère pas Müller comme étant un être insensible, comme les autres soldats, Müller réalise pragmatiquement que Kemmerich n'aura plus besoin de ses chaussures et les émotions comme le chagrin, la compassion ou la peur ne sont pas en jeu.
[...] On chuchote partout que la capitulation et la paix sont proches. Paul est empoisonné lors d'une attaque au gaz et on lui donne une courte permission. En octobre 1918, lors d'un accrochage, Paul est tué. L'armé note seulement ce jour là “Rien de nouveau sur le front de l'ouest.” Le visage de Paul affiche une calme expression. Il tomba en octobre 1918, par une journée qui fut si tranquille sur tout le front que le communiqué se borna à signaler qu'à l'ouest il n y avait rien de nouveau. [...]
[...] Tjaden annonce l'arrivée du caporal Himmelstoss, venu combattre au front. Une nuit, une mission est montée pour déployer du fil de fer. Bombardé par l'artillerie, ils trouvent refuge dans un cimetière où les obus font émerger les corps de leur tombe. A leur retour, les survivants discutent de la fin de la guerre. Quelques uns n'ont pas d'idées précises sur ce qu'ils feront plus tard, mais tous craignent que la guerre ne prennent jamais fin. Himmelstoss arrive au front et se heurte vite à Tjaden. [...]
[...] De retour dans sa compagnie, Paul raconte son aventure et ses amis essaient de le consoler. Paul et ses amis recoivent une mission facile pour trois semaines : la garde d'un dépot d'alimentation éloigné du front. Lors d'une nouvelle bataille, Paul et Kropp sont blessés et doivent verser un pot-de-vin en cigares à un sergent pour qu'il les envoie à l'hôpital. Paul est opéré et Kropp est amputé de la jambe. Il devient très depressif. Après son opération, Paul reçoit une courte permission de convalescence et retourne dans sa compagnie. [...]
[...] Paul est renvoyé dans sa compagnie et retrouvent ses camarades. Le Kaiser, l'empereur allemand, se rend sur le front pour une inspections et les hommes sont étonnés de voir apparaitre un petit homme avec une petite voix. Durant une bataille, Paul est séparé de son groupe et contraint de se terrer dans un trou d'obus. Un soldat français s'y réfugie aussi et Paul le poignarde instinctivement. Pendant que l'homme agonise lentement, Paul est rongé par le remord, cet homme n'étant pas un ennemi mais une victime de la guerre tout comme lui. [...]
[...] Paul et ses amis font la visite de Kemmerich, un ancien camarade de classe, qui a eu recemment la jambe amputée à cause de la gangrène. Kemmerich meurt à petit feu et Müller désirerait qu'il lui donne ses chaussures. Paul ne considère pas Müller comme un être insensible ; comme les autres soldats, Müller réalise pragmatiquement que Kemmerich n'aura plus besoin de ses chaussures et les émotions comme le chagin, la compassion ou la peur n'ertre pas en jeu. Peu après cette visite, Paul retourne une dernière fois le voir et Kemmerich confie ses chaussures pour Müller. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture