(...) Seconde Partie
Malgré les premières craintes, les difficultés qu'ils ont rencontrées, et la prudence dont ils doivent faire preuve pour échapper à la vigilance du Parti, Winston et Julia vivent tant bien que mal leur relation amoureuse. Ils habitent au dessus de la boutique de l'antiquaire.
Le couple s'engage davantage dans la Résistance. Un jour que Winston rencontre O'Brien, il comprend que lui aussi est un ennemi du Parti.
Sous l'égide d'O'Brien, ils adhèrent à la Fraternité, organisation secrète de Résistance (...)
[...] O'Brien et l'antiquaire ne sont autres que des membres de la Police de la Pensée, au service du Parti. Troisième Partie La Prison. Winston incarcéré, désorienté, seul, est emmené par O'Brien accompagné d'un garde : le prisonnier doit suivre un programme de Réintégration Frappé, humilié, torturé, Winston est forcé d'avouer les crimes qu'il n'a pas commis. Il admet tout. On l'emmène alors en salle 101, ultime étape du processus de Réintégration. Là, on le confronte à son pire cauchemar : sa phobie des rats. [...]
[...] Lors de la pause déjeuner, il rencontre Julia. Il est alors convaincu qu'elle l'espionne. Le soir, en sortant du Ministère, Winston décide de ne pas se rendre au Centre communautaire, lieu de loisirs institué par le Parti. Il erre dans les rues de Londres, lorsqu'il passe devant une boutique d'antiquaire du Quartier Prolétaire. Il y achète un presse-papier. En quittant les lieux, il fait le souhait d'habiter l'appartement au dessus de l'échoppe. En sortant, il rencontre Julia et rentre chez lui terrorisé, appréhendant une arrestation prochaine. [...]
[...] Des écrans sont installés en tout lieu. Big Brother, omniscient et omniprésent, surveille la cité. Nul ne peut échapper à sa vigilance. Winston Smith, employé au Ministère de la Vérité rapporte dans le journal qu'il tient secret une anecdote : aujourd'hui lors d'une séance de Deux minutes de haine rituel instauré par le parti pendant lequel des images de l'ennemi de la Patrie sont livrées aux invectives et à la haine des employés, il a remarqué une femme aux cheveux noirs Julia, particulièrement virulente. [...]
[...] Alcoolique, il se réfugie dans le Café du Châtaigner. Il repense à sa dernière rencontre avec Julia : après le programme de Réintégration, les anciens amants se sont revus. Deux être ravagés, coupables de trahison, dont il ne reste plus rien. Soudain ses rêveries sont interrompues. Sur un écran, Big Brother apparait. C'est alors que Winston se surprend à ressentir de l'affection pour le dictateur, sentiment qui signe définitivement le triomphe du Parti sur l'individu. Appendice L'auteur y décrit les principes du Novlangue, langue officielle de l'Océania. [...]
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