L'Odyssée raconte le difficile retour d'Ulysse chez lui, à Ithaque, à la fin de la guerre de Troie.
Il fallut 10 ans à Ulysse pour retrouver son royaume, et si l'on ajoute les dix années de la guerre de Troie, il lui aura fallut 20 années de courage pour revoir son fils et sa femme.
Tout commença le jour ou Pâris, un jeune Troyen, enleva la plus belle femme qui fût connue au monde : Hélène, l'épouse du roi de sparte, Ménélas. Il pria tous les rois achéens (grecs) de lever une armée et de traverser la mer à sa suite pour détruire la ville de Troie et reprendre Hélène. Tous ceux qui en réchappèrent rentrèrent chez eux.
Mais Ulysse affronta tous les monstres marins et ceux qui se trouvent dans la tête des hommes.
Cette histoire fût contée par les aèdes (conteurs) qui voyageaient de ville en ville. Ces grands poèmes ont été appelés : épopées. Ces grands poèmes n'étaient pas toujours écrits. Ce sont d'abord des oeuvres orales. Plus tard, on a commencé à les fixer par écrit. En fait, ils ne les apprenaient pas par coeur car ils étaient trop long (parfois 12000 vers). Ils disposaient d'un réservoir de formules toutes faites qu'ils réutilisaient. En lisant l'Odyssée, on s'en aperçoit aux répétitions. Exemple : Quand parut l'aube aux doigts roses. Ces formules servaient de point d'appui à la mémoire. Ainsi l'aède pouvait-il raconter une histoire sans se tromper ; Bien sur, il ne récitait pas l'Odyssée en une seule fois, mais en plusieurs jours (...)
[...] Elle lui confit sa ruse qui lui a permis de reporter son mariage avec l'un des prétendants.(Tisser toile : linceul pour le héros Ulysse (fils de laerte). Cette ruse dura 3 ans. Ulysse, toujours en vieillard lui dit qu'Ulysse est devenu riche et va revenir. Pour le remercier, elle demande à des servantes de lui laver les pieds. Il accepte à condition que ce soit une vieille femme qui ait souffert. C'est sa nourrice qui lui lave les pieds. En le lavant, elle reconnut la cicatrice de la blessure d'un sanglier. Elle reconnut Ulysse, mais ils ne dirent rien à Pénéloppe. [...]
[...] Eole a 12 enfants filles et 6 garçons. Il a marié ses filles à ses fils et ils passent le temps à banqueter. Il reçut Ulysse durant un mois et le laissa repartir. Eole lui donna une outre taillée dans la peau d'un bœuf et le remplit de vents mugissants. Durant le voyage, les hommes d'Ulysse croyant que l'outre renfermait de l'or, l'ouvrirent, les vents mugissants se libérèrent, une tempête se déclara les ramenant vers l'île de Eolie, chez Eole qui fut surpris de les revoir. [...]
[...] Elle lui apprend ce qui se passe à Ithaque. Il voit Agammenon (tué par l'épée par Agisthe avec l'aide de sa femme. Il voit Achille (qui demande des nouvelles de son fils ; Néoptolème). Il voit Minos ; ? Il voit Tantale (puni pour avoir révélé aux hommes son séjour chez les dieux. Quand voulait boire, le niveau de l'eau baissait, quand il voulait manger des fruits, le vent les soulevait et il ne pouvait les atteindre. Il voit Sisyphe (pour avoir trompé les hommes et les dieux, il poussait un rocher vers le sommet d'une montagne, mais une force faisait retomber la pierre avant d'atteindre le sommet. [...]
[...] Les navires devinent les pensées des hommes et connaissent les cités et les champs fertiles du monde entier. LE CYCLOPE Et Ulysse lui raconte son Histoire. Au départ de Troie, le vent le pousse chez les Kikones. Il dévasta la ville, puis les kikones ont appelés leur voisin, kikones d'intérieur, et ils emportèrent la victoire. Ulysse et ses compagnons partirent en mer. Zeus fit lever le vent et nos compagnons dérivèrent. Le 10ièmé jour, ils abordèrent la terre des Lotophages. Les habitants leurs offrirent du loto à manger. [...]
[...] Il y eut le combat des lances. Quand les prétendants tiraient, un dieu déviait les lances, quand Ulysse et ses amis tiraient, ils touchaient les prétendants. Nota : noire mort il dit quant parut l'aube aux doigts roses Il laissa partir 2 hommes. Il tua le reste. Il demanda à Euryclée (son ancienne nourrice), qui, parmi les servantes ont outragé Ulysse. Télémaque pendit les servantes infidèles à un filin comme des grives. Il trancha le nez, les oreilles, les pieds, les mains et les parties de Mélianthis et les jeta aux chiens. [...]
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