Le romantisme est apparu en France au début du XIXe siècle. Il s'agit d'un mouvement européen qui a concerné tous les arts. Il s'oppose à la tradition classique et vise à une libération de l'imagination et de la langue. Le romantisme privilégie notamment l'expression du moi et les thèmes de la nature et de l'amour (...)
[...] Elle demande à dame Pluche de faire parvenir à son cousin un billet pour le convier à un rendez-vous. Perdican continue de rendre Camille jalouse avec Rosette. Il se rend cependant à l'invitation de sa cousine. Camille lui révèle qu'on lui a appris dans son couvent à craindre l'amour et que les religieuses l'ont mise en garde des dangers de la passion. Une amie de couvent l'a également éclairée sur l'égoïsme des hommes. Perdican met en cause l'éducation religieuse et célèbre la passion qui transfigure les êtres. [...]
[...] Elle fait venir son cousin après avoir caché la petite paysanne derrière un rideau. Après s'être échangé des reproches, les deux jeunes gens se laissent aller à leur passion et tombent dans les bras l'un de l'autre. Rosette qui a assisté à la scène meurt d'émotion. La conscience de leur faute les sépare à jamais. Camille quitte Perdican. Cette pièce de théâtre est découpée en trois actes qui comportent respectivement cinq scènes pour l'acte cinq scènes pour l'acte II et huit scènes pour l'acte III Dans cette pièce, c'est le texte à lui tout seul qui contient l'espace de jeu. [...]
[...] Blessé par l'échec de la Nuit vénitienne ; il se décide d'écrire des pièces à lire. Il publie entre 1832 et 1834, A quoi rêvent les jeunes filles, La Coupe, Les Lèvres et Namouna, Les Caprices de Marianne (1833), Fantasio (1834) et On ne badine pas avec l'amour (1834). À la fin de l'année 1834, il publie, le drame historique Lorenzaccio. Dramaturge incompris, il obtient un immense succès, en 1833, avec un poème romantique Rolla: le cycle des Nuits, écrit après sa rupture. [...]
[...] Camille lui annonce sa décision : elle renonce au monde et va rentrer au couvent. Perdican parvient à se saisir d'une lettre que Camille adresse à son amie religieuse. La jeune fille se flatte de "l'avoir réduit au désespoir". En proie à une rage froide, Perdican va s'efforcer de rendre Camille jalouse. Il va " faire la cour à Rosette devant Camille elle-même». Il se fiance à Rosette. La jeune paysanne est fascinée par le fils du baron et croit en son bonheur. Mais Camille ne désarme pas. [...]
[...] Le romantisme est apparu en France au début du XIXe siècle. Il s'agit d'un mouvement européen qui a concerné tous les arts. Il s'oppose à la tradition classique et vise à une libération de l'imagination et de la langue. Le romantisme privilégie notamment l'expression du moi et les thèmes de la nature et de l'amour Perdican, fils du baron et jeune bachelier revient chez son père en compagnie de son précepteur, maître Blazius. Sa cousine Camille, accompagnée, elle de dame Pluche, sa gouvernante, rentre également au château. [...]
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