Fiche de lecture sur Les Caprices de Marianne d'Alfred de Musset comportant une présentation de l'oeuvre, un résumé, ainsi qu'une présentation des personnages principaux, et de l'auteur.
[...] LE LIVRE : - Auteur : Alfred de Musset - Titre : Les Caprices de Marianne - d'édition : - Date d'édition : Mars 1993 - Collection : Classiques Larousse - Nombre de pages : 65 pages II. RESUME DU LIVRE : Premier acte scènes) : Coelio tombe amoureux de Marianne, très belle femme déjà mariée avec Claudio dont elle tient à rester fidèle. Coelio demande à plusieurs personnes dont Octave, son meilleur ami et un cousin de Marianne, de la faire changer d'avis. [...]
[...] Par ailleurs, il a une certaine cruauté de langage. C'est un homme de jeux, de fêtes et de mascarades, un ‘'danseur de corde'' qui a choisi le costume à losange à la botte d'Arlequin pour déguisement. Octave reste un être tendre et sensible à l'intelligence pétrie de lucidité. Il est surtout tendre avec Coelio et obéit à un code de l'honneur et de l'amitié étonnamment strict. Il a eu un passé sombre, triste et mystérieux. Peu à peu, il se dévoile aussi pur que Coelio. [...]
[...] Claudio, persuadé que sa femme le trompe avec Octave, la menace de représailles. Alors, Marianne annonce à Octave qu'elle prendra comme amant le premier qui se présentera (Elle voulait bien sûr que ce soit Octave Toujours très loyal, Octave alla prévenir Coelio de se rendre sous le balcon de Marianne s'il veut être son amant. La nuit, Coelio, de se rendit sur les lieux mais malgré l'obscurité, Marianne confondit Coelio avec Octave. Ce quiproquo poussa Coelio à se laisser tuer par les spadassins qu'avait envoyé Claudio. III. [...]
[...] L'AUTEUR : Alfred de Musset : Poète français (Paris 1810 Paris 1857), second fils de Musset-Pathay. A la fin de ses études secondaires, il est introduit dans le cénacle de Ch. Nodier. Il n'a pas vingt ans quand paraissent ses premiers Contes d'Espagne et d'Italie (1830). Au théâtre, ses essais sont malheureux, et il décide de composer des pièces destinées à la lecture. On en trouve deux (la Coupe et les lèvres et A quoi rêvent les jeunes filles) dans le recueil Un spectacle dans un fauteuil (1832). [...]
[...] Coelio ne retiendra de son amour pour Marianne que le goût morbide de l'échec. En fait, la seule femme qui l'intéresse, inaccessible comme la jeune fille, est sa propre mère, Hermia. Il la célèbre avec enthousiasme, elle dont la beauté rappelle ‘'le port majestueux d'une reine, et les formes gracieuses d'une Diane chasseresse'' (Acte 1 ; scène 2). Il nie ou travestit la vérité, enfermé dans son obsession morbide, sa mort apparaissant alors comme un suicide déguisé. Avant de disparaître, il croît léguer à son ami Octave le mal qui l'a miné durant sa vie, le fardeau que son père dut porter longtemps, celui de l'amitié trahie. [...]
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