La muette, Chahdortt Djavann, iran, condition de la femme, femme, Fatemeh
Les premières pages du roman commencent par la pensée d'une éditrice ayant reçu une lettre d'une certaine C.J. journaliste reporter en Iran. Dans cette lettre, la jeune femme lui demande de faire publier l'histoire d'une jeune fille en prison. Après la lecture de ce récit, il est clair pour l'éditrice que cette histoire doit être publiée. Ce passage du livre est à la première personne du singulier « je », nous avons un point de vue interne.
Dès la treizième page, le récit de Fatemeh, jeune iranienne de 15 ans commence. Lors de son récit, nous trouvons également un point de vue interne tout comme à la fin du livre avec la note de la journaliste et du traducteur.
[...] À la vieille du mariage, elle cède à la tentation de son amour secret. Le scandale éclate, son fiancé décide de sa peine: la lapidation. Mais il revient sur sa peine après que le père de la jeune fille, frère de la muette, accepte de changer la main de sa fille contre la pendaison de sa sœur. Après la pendaison de sa tante, elle se marie avec le mollah, après maintes relations sexuelles forcés Fatemeh tombe enceinte. Quarante jours après l'accouchement, le mollah réapparaît et abuse de la jeune maman, elle ne supporte plus cette vie , elle décide donc de mettre fin à la vie de cet homme et de sacrifier sa fille. [...]
[...] Un soir, le grand-père de notre héroïne s'est éteint, faute d'argent ils l'enterraient dans la parcelle la moins chère du cimetière, sans cérémonie funéraire. Mais les gens du quartiers les accusaient de l'avoir enterré comme un malpropre, la mère de Fatemeh a demandé au mollah de venir chaque vendredi pour venir faire la prière des morts et en même temps faire taire les rumeurs. Le mollah se prend d'amour pour la Muette, mais ses sentiments ne sont pas réciproques. Celui qu'elle aime, c'est l'oncle maternel de l'adolescente, et à force de les observer Fatemeh s'en rend compte. Cependant, elle est promise au mollah. [...]
[...] journaliste reporter en Iran. Dans cette lettre, la jeune femme lui demande de faire publié l'histoire d'une jeune fille en prison. Après la lecture de ce récit, il est clair pour l'éditrice que cette histoire doit être publiée. Ce passage du livre est à la première personne du singulier je nous avons un point de vue interne. Dès la treizième page, le récit de Fatemeh, jeune iranienne de 15 ans commence. Lors de son récit nous trouvons également un point de vue interne tout comme à la fin du livre avec la note de la journaliste et du traducteur. [...]
[...] + Un court récit (125 pages) A la lecture de La Muette, nous ne pouvons pas nous en sortir intact. Je ne cesse de penser à toutes ces femmes iraniennes qui vivent sous l'influence des hommes, même si cette histoire est une fiction elle relève de faits réels comme la pendaison où des adolescentes de 14 15 ans perdent la vie car elles avaient envie de liberté. Chahdortt Djavann fait réfléchir à travers cette histoire, et on se rend compte que notre vie n'est pas si mal en France. [...]
[...] Car il y a un dégout qui se dégage envers les deux personnages. Il y a une forte incompréhension à l'égard de Fatemeh qui ressent un bien-être pendant quelques instants, alors que tout au long du roman elle hait cet homme, jusqu'à lui donner la mort. Puis le mollah, me dégoute du début à la fin de sa vie. Suite à la manière dont il traite les femmes est totalement révoltante, d'autant plus qu'il donne vie à une petite fille. [...]
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