morale, stoïcienne, solution, tous, maux
Le stoïcisme fut fondé en Grèce antique par Zénon de Citium en 301 avant JC. C'est une école philosophique qui, au fil du temps, est devenue un courant philosophique helléniste puis romain. Le stoïcisme consiste à avoir recours à des exercices de médiations dans le but ultime d'être en accord avec la nature et la raison pour atteindre le bonheur et la sagesse. Le bonheur tant recherché est considéré comme l'absence de passion ou l'absence de souffrances. Marc Aurèle, grand stoïcien, est orienté sur la notion du devoir et de responsabilité. Il apprend aussi bien l'exercice du pouvoir que la réflexion morale et les leçons du stoïcien Epictète, qui lui enseigne l'amour et la liberté. Dans « Pensées pour moi-même », il écrit sur la philosophie stoïcienne dont il avait fait un examen de conscience permanent.
[...] En plus du fait qu'elle est maitresse d'elle-même, l'âme atteint toujours son but ultime dans la vie. Qu'elle soit contrée par des obstacles comme la mort et la maladie, et qu'elle soit en fin de vie, l'âme atteint toujours le but s'était fixé et réalise ses projets. L'âme est aussi droite et respectueuse, honnête, et faisant preuve de pudeur. Elle aime également le prochain. Toutes ces choses sont le pouvoir principal de l'âme mais également le propre de la loi, et rendent l'âme raisonnable. [...]
[...] Conclusion : La morale stoïcienne peut elle être une solution à tous nos maux ? Pour conclure ce texte de Marc Aurèle, nous pouvons dire que la morale stoïcienne consiste à s'exercer à vivre dans le seul temps qui soit le notre, c'est-à-dire le présent. Pour Marc Aurèle il faut accomplir chaque action de la vie comme si c'était la dernière. Pour les stoïciens la principale volonté est le bonheur, c'est grâce à cela que tout va mieux et que les gens sont heureux. [...]
[...] « Une pensée saine doit être prête à tous les événements ». Ces paroles de Marc Aurèle affirment que la pensée doit être confrontée à tout ce qui peut lui arriver, que cela soit bon ou mauvais. Elle ne doit pas espérer une chose durant son existence, ni même la désirer car on considère alors que notre âme n'est pas saine. Elle est alors dite malade. Il faut, dans la vie, se contenter de ce que l'on sans chercher à vouloir plus car le désir n'est pas ce qui nous rend heureux. [...]
[...] Ils peuvent avoir des effets bénéfiques ou néfastes sur notre vie. En effet quand nous sommes confrontés au mal ou à la perte d'une personne qui nous est chère, nos sentiments prennent le dessus et nous empêchent d'aller mieux, nous pensons constamment au mal qui nous entoure. En opposition lorsque des choses bonnes de la vie nous arrivent, nous ne pouvons pas contrôler le bonheur que nous ressentons. Nos sentiments prennent donc le dessus à tout moment de notre existence et ces sentiments font partis des vicissitudes de la vie. [...]
[...] Marc Aurèle, grand stoïcien, est orienté sur la notion du devoir et de responsabilité. Il apprend aussi bien l'exercice du pouvoir que la réflexion morale et les leçons du stoïcien Epictète, qui lui enseigne l'amour et la liberté. Dans « Pensées pour moi-même », il écrit sur la philosophie stoïcienne dont il avait fait un examen de conscience permanent. Quels sont les pouvoirs de l'âme ? Il arrive habituellement à l'âme de méditer, parmi ces méditations il y a une vérité fondamentale de la vie, c'est que l'âme n'est pas touchée par les choses extérieures. [...]
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