[...] ACTE III
SCENE I
Armande, Bélise et Philaminte écoute Tissotin déclamer des vers.
SCENE II
Henriette, qui traverse au même moment le salon, est conviée à la lecture.
Les trois femmes savantes sont émerveillées par le poète. Armande s'imagine volontiers être la régente de la vie intellectuelle parisienne.
SCENE III
Vadius, un ami de Tissotin, paraît.
Ignorant que Tissotin est l'auteur des vers lus aux femmes, Vadius critique acerbement le sonnet. Les deux intellectuels se querellent. Vadius quittent la scène en promettant de se venger (...)
[...] Scène III Tissotin paraît. Les deux rivaux se querellent. L'un dénonce l'ignorance de son rival, l'autre son pédantisme et son inutilité. Scène IV La querelle est interrompue par le valet de Vadius qui remet une lettre à Philaminte. Dans cette missive Vadius révèle les véritables intentions de son ennemi : sa marier pour s'enrichir et non par amour pour Henriette. Mais Philaminte reste incrédule. Elle dénonce cette calomnie. Pire elle confirme le mariage de Tissotin et d'Henriette pour le soir même. [...]
[...] Il est prêt à accepter un compromis : marier Armande à Clitandre et Henriette à Tissotin. Scène IV Mais deux lettres parviennent aux époux : chacun d'eux apprend avoir perdu leur fortune. La famille est ruinée. A cette nouvelle, Tissotin renonce au mariage. De son coté, Clitandre s'engage à aider la famille. Touchée par son honnêteté, Philaminte consent à marier Henriette et Clitandre. Ariste dévoile la supercherie : les deux lettres qu'il a apportées sont fausses. La cupidité de Tissotin est démasquée et la loyauté de Clitandre est ainsi dévoilée. [...]
[...] Les trois femmes savantes sont émerveillées par le poète. Armande s'imagine volontiers être la régente de la vie intellectuelle parisienne. Scène III Vadius, un ami de Tissotin, paraît. Ignorant que Tissotin est l'auteur des vers lus aux femmes, Vadius critique acerbement le sonnet. Les deux intellectuels se querellent. Vadius quittent la scène en promettant de se venger. Scène IV Philaminte dévoile à Tissotin ses intentions de le marier à Henriette. L'homme exulte, Henriette proteste. Scène V Armande ironise sur la situation qui accable sa sœur. [...]
[...] Mais aujourd'hui il est sincèrement épris d'Henriette. Armande, piquée par la jalousie, rappelle à sa sœur que le mariage ne peut être consenti sans l'accord des parents. Elle part. Scène III Henriette s'inquiète : elle ne sait comment obtenir le consentement de sa mère, Philaminte, une femme pédante, lunatique et autoritaire. Les jeunes gens devront s'attirer la bienveillance de Tissotin, un médiocre poète que Philaminte fréquente. Bélise, la tante d'Henriette paraît. Clitandre va tenter de solliciter son soutien. Henriette se retire. [...]
[...] Elle dénonce le crime de la servante : elle a fait une faute de grammaire ! Malgré les supplications de la servante, Chrysale ne saurait s'opposer à sa femme. Scène VII La servante se retire. Chrysale s'emporte : il est las de ces femmes qui ont plus le souci des sciences que de la maison. Toutes semblent dévoyées par la lecture que ce soit Bélise ou même ses domestiques. C'est pourquoi il tenait tant à Martine : elle s'occupait de lui. [...]
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