La première fois qu'ils se sont vus, Horace est tout de suite tombé amoureux d'Agnès, cependant certains faits pouvaient laisser croire que celle-ci ne faisait pas attention à son prétendant. Se met alors en place un intense jeu de séduction entre les deux jeunes gens.
Arnolphe, de retour, prend connaissance de la situation entre Agnès et Horace. Horace, alors n'est pas au courant qu'Arnolphe est le tuteur d'Agnès, qui va tout lui raconter (...)
[...] De son côté, Agnès, dans sa chambre et mise à l'écart par Arnolphe est de plus en plus désespérée et menace de se jeter par la fenêtre. C'est alors que les entremetteurs de ce mariage vont jouer un rôle fondamental : ils annoncent qu'après de nombreuses recherches, Enrique et Oronte ont découverts que la fille d'Enrique n'est autre qu'Agnès, ainsi Arnolphe est vaincu, démuni. Il ne peut plus combattre ce mariage dont la destinée semble gravée à jamais. C'est le triomphe des jeunes gens, d'Agnès et d'Horace, qui sont les symboles de l'amour et de la jeunesse. [...]
[...] Horace lui raconte tout ça en faisant totalement confiance à l'ami de son père, dont il ne soupçonne pas la véritable identité. Il continue à le considérer comme un ami, alors qu'en réalité Arnolphe n'est autre que son rival qui va profiter de sa situation pour obtenir plus d'informations sur cette histoire d'amour. Ce n'est que pendant le dernier acte de la pièce qu'Horace va apprendre et comprendre cette trahison, et que le quiproquo sera véritablement levé, en entendant prononcer le nom de Monsieur de la Souche par un individu qui s'adresse en fait à Arnolphe Question 3 : Racontez le dénouement de la pièce : Depuis le début, il y avait deux obstacles au mariage d'Horace et d'Agnès : Arnolphe et Oronte qui est le père d'Horace. [...]
[...] Sans le savoir, persuadé d'abandonner Agnès entre des mains sûres afin de venir la chercher plus tard, le jeune Horace l'abandonne en fait dans les mains même de son tuteur. Question 2 : Quel est le quiproquo qui s'installe dans la pièce ? : Tout au long de la pièce s'installe un quiproquo comique : Oronte et Arnolphe sont amis depuis longtemps, et Arnolphe, le tuteur de la jeune Agnès a donc connu son prétendant, Horace, alors qu'il était tout petit. Un jour par hasard, Arnolphe rencontre Horace qu'il n'avait pas vu depuis des années. [...]
[...] Se met alors en place un intense jeu de séduction entre les deux jeunes gens. Arnolphe, de retour, prend connaissance de la situation entre Agnès et Horace. Horace, alors n'est pas au courant qu'Arnolphe est le tuteur d'Agnès, qui va tout lui raconter. Très vite, Arnolphe interdit à Agnès de revoir Horace et lui avoue qu'il n'a qu'une intention : l'épouser. Agnès est horrifiée quand son tuteur lui explique qu'il jettera toutes les pierres qu'il pourra si dorénavant le jeune Horace se présente à nouveau sous le balcon de la jeune fille. [...]
[...] Plus tard, alors que les deux amoureux se sont donnés rendez vous sur le balcon de la jeune fille, en pleine nuit, le tuteur Arnolphe est mis au courant de leurs projets : Horace veut 1 s'enfuir avec sa bien aimée, qu'il entend bien ravir à son tuteur. Furieux, Arnolphe décide de tendre un piège au prétendant grâce à l'aide de ses valets : Georgette et Alain. La nuit venue, les valets mettent un plan peaufiné à l'avance à exécution. Au cours du piège, les deux valets pensent avoir tué le jeune Horace qui n'est en réalité par mort et qui s'enfuit avec Agnès. [...]
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