Madame Vingtras est une paysanne qui a pour principe qu'il ne faut pas gâter les enfants. Jacques dit d'ailleurs : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants. Ainsi, elle me fouette tous les matins. Si ce n'est pas le matin, c'est pour midi, jamais plus tard que 4 heures".
On apprend dès le début que sa mère fouette le jeune Jacques à outrance, et qu'elle utilise la méthode des châtiments corporels depuis sa plus jeune enfance afin de le punir à la moindre incartade, à la moindre bêtise. (...)
[...] Mais le père est un homme lâche, qui fuit le problème en faisant déménager sa famille. En réalité, on devine qu'il est soumis à la puissance dominatrice de sa femme. Malgré toutes ses preuves du manque d'amour du père de Jacques à son égard, celui-ci en reçoit une preuve à la fin du récit en surprenant une conversation qui lui prouve que son père l'aime. Question 3 : Racontez le problème des vêtements : Le problème de la toilette est un sujet fréquemment abordé dans le roman. [...]
[...] Sa mère répond que c'est elle-même qui l'a fait et en rougit d'orgueil car il croit que le chevalier admire le vêtement, alors qu'il exècre justement son goût. Question 4 : La relation entre Jacques et sa mère à Paris : Lors de son adolescence, le jeune Jacques est placé à la pension Legnagna où son père s'est arrangé pour payer moins cher que les autres, alors que Jacques d'obtenir des bons résultats en contrepartie. Mais il échoue dans ses études et est persécuté par Legnagna qui déteste les pauvres. Sa mère vient à Paris pour l'en arracher. [...]
[...] Modèle d'interrogation de Français sur l'Enfant, de Jules Vallès Question 1 : Quelle est la méthode d'éducation de Madame Vingtras ? Comment l'enfant réagit il au début Justifiez : Madame Vingtras est une paysanne qui a pour principe qu'il ne faut pas gâter les enfants. Jacques dit d'ailleurs : Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants. Ainsi, elle me fouette tous les matins. Si ce n'est pas le matin, c'est pour midi, jamais plus tard que 4 heures On apprend dès le début que sa mère fouette le jeune Jacques à outrance, et qu'elle utilise la méthode des châtiments corporels depuis sa plus jeune enfance afin de le punir à la moindre incartade, à la moindre bêtise. [...]
[...] C'est alors que Jacques dit à sa mère tout ce qu'il pense d'elle. Elle en est blessée, offusquée, pleure et se repentit, en reconnaissant ses fautes. Elle veut se racheter et donne à partir de ce moment là, à son fils, toute la liberté possible, en arrêtant même de le battre. Elle fait tout pour lui prouver qu'elle l'aime, puis ramène Jacques à Nantes pour qu'il puisse préparer son baccalauréat. [...]
[...] Pour le repas du dimanche, elle prévoit toujours le traditionnel gigot d'agneau, mais c'est à Jacques de le finir, toute la semaine durant. Il le mange sous toutes les formes, alors que ses parents ont le plaisir de manger plus varier. Mais Jacques a un point de vue tout à fait étonnant sur cette éducation : il affirme que si sa mère le bat c'est que c'est pour son bien. Il est persuadé que sa mère est une bonne mère et se résout à croire que c'est ainsi que toutes les mères soignent et chérissent leurs enfants Question 2 : Parlez du père de Jacques : Le père de Jacques est surveillant dans un collège, détesté par les élèves. [...]
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