"Les métamorphoses", Apulée, Voyage en Thessalie, Aristomène, famille de Plutarque, Dieu du Rire, Photis, Démocharès, Psyché
Lucius Apulée vient de Corinthe, Grèce (pays de mes pères). Etudiant étranger dans la Ville Latine. Maîtrise de la langue, autodidacte. Noble selon Milon. Homme distingué de l'extérieur selon le 2° voyageur.
Voyage en Thessalie à cheval pour affaires, rencontre avec deux voyageurs. L'un accuse l'autre de mentir. Apulée lui dresse un discours contre les opinions toutes faites. Invite l'autre à déjeuner en l'échange de la narration de son histoire. Il se nomme Aristomène et vient d'une ville grecque proche de Corinthe. S'occupe de marchandises pour les aubergistes. Se rendait en Thessalie, à Hypata, pour marchandise, mais elle a déjà été raflée quand il arrive. Soir, se rend au bain, rencontre son ami Socrate en haillons, enrichi en Macédoine par commerce, attaqué par des brigands sur le chemin du retour
[...] Les métamorphoses Apulée LIVRE I Lucius Apulée vient de Corinthe, Grèce (pays de mes pères). Etudiant étranger dans la Ville Latine. Maîtrise de la langue, autodidacte. Noble selon Milon. Homme distingué de l'extérieur selon le voyageur. Voyage en Thessalie à cheval pour affaires, rencontre avec deux voyageurs. L'un accuse l'autre de mentir. Apulée lui dresse un discours contre les opinions toutes faites. Invite l'autre à déjeuner en l'échange de la narration de son histoire. Il se nomme Aristomène et vient d'une ville grecque proche de Corinthe. [...]
[...] Lui apporte la lettre de Déméas. Je voudrais que tu te plaises pendant ton séjour chez nous Marché, poisson acheté cher, rencontre ami de fac, Pythias, magistrat, fait une scène car trouve exorbitant le prix du poisson. Apulée rentre sans argent et sans poisson, fatigué mais obligé de discuter avec Milon. LIVRE II Lucius se promène au marché, il rencontre la femme qui l'a élevé : Byrrhène, une femme très riche, ayant grandi comme une sœur avec Salvia, la mère biologique de Lucius, issues toutes deux de la famille de Plutarque, ayant eu la même nourrice. [...]
[...] Entendant ces paroles, Télyphron se touche le nez et les oreilles, celles- ci tombent. A la fin de l'histoire, Byrrhène propose à Lucius de participer à un rite célébrant le rire le lendemain. Après le dîner, Lucius et son valet rentrent, et surprennent par hasard des brigands devant la propre demeure de Milon, tentant de forcer celle-ci. Lucius, qui avait été prévenu par Photis, les tue un à un à l'épée, voyant qu'ils ne fuient pas. LIVRE III Lucius craint le tribunal. [...]
[...] Lucius est condamné à la torture pour révéler les complices de ce crime qu'il n'a pu commettre seul. On lui demande de retirer le drap funeste, et il se rend compte qu'il a été victime d'un divertissement pour le Dieu du Rire : il n'a tué que des peaux d'animaux. Les magistrats s'excusent de la plaisanterie mais lui assurent une protection certaine du Dieu de la gaieté, et félicitent son rang. La cité le choisit pour patron et décrète de lui élever une statue en bronze. [...]
[...] Deux voleurs ramenèrent un corps pour s'en revêtir afin d'entrer dans la demeure de Démocharès. Thrasyléon fut désigné pour ce rôle. Il fut poursuivi et mordu par les chiens de chasse, et roué de coups par les gens du village. Lucius et son cheval sont attachés. La nuit les brigands repartent et quand ils reviennent, c'est avec une jeune fille de bonne famille de qui ils vont demander une rançon. Elle ne cesse de pleurer, car devait se marier à l'homme qu'elle aime. [...]
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