le dernier chapitre du roman, montre une héroïne totalement pitoyable : Jeanne bien qu'âgée de 46 ans apparait comme une vieille femme, elle est seule et n'a pas vu son fils depuis 7 ans, a été obligée de vendre son château des Peuples et ne vit qu'avec l'aide énergique de Rosalie qui a pris ses affaires en vain.
L'extrait que nous allons étudier constitue l'épilogue. Rosalie qui est allée chercher la fille de Paul à Paris, l'a remise à Jeanne et dans la carriole ramenant les deux femmes dans leur maison de Batteville, Jeanne va découvrir ce petit être et le baiser s'engageant ainsi dans une autre vie. Notre approche du texte s'articulera autour de 2 axes : la renaissance et l'épilogue (...)
[...] - Une traversée de joie : ce petit être mais elle ne l'a même pas regardé, elle ne s'est pas inquiéter du prénom. Cependant elle a une révélation par la chaleur. - On sait juste de la petite fille qu'elle est : la fille de son fils allitération en f - Harmonie entre le paysage printanier plein de vie et la résurrection de Jeanne qui reçoit la chaleur et donc la vie par l'intermédiaire de la fille de son fils. II) L'épilogue. [...]
[...] - Paul va-t-il continuer à errer ? - Sa fille comment va-t-elle évoluer ? - Comment l'attitude de Jeanne va changer ? On a une fin ouverte. Le rôle de Rosalie. - La fin du roman est consacrée à Rosalie, elle est le sujet. Elle guide, dirige, mène Jeanne : c'est la maîtresse. - L'éducation de la petite fille sera peut être meilleur. Symbole de la chute : disparition de l'aristocratie avec Rosalie. - Rosalie joue un rôle important pour l'avenir de Jeanne. [...]
[...] Une Vie de Maupassant : chapitre XIV. De Le soleil baissait vers l'horizon À la fin du chapitre. Introduction : le dernier chapitre du roman, montre une héroïne totalement pitoyable : Jeanne bien qu'âgée de 46 ans apparait comme une vieille femme, elle est seule et n'a pas vu son fils depuis 7 ans, a été obligée de vendre son château des Peuples et ne vit qu'avec l'aide énergique de Rosalie qui a pris ses affaires en vain. L'extrait que nous allons étudier constitue l'épilogue. [...]
[...] - infinie x2 dont émotion infinie elle jubile de bonheur en percevant la chaleur du petit être - Allitération en t et er Souligne le mot Terre. Souligne le climat de paix. - Échos bibliques. Le mouvement. - La carriole est en mouvement : elle roule à bon train. - La langue du paysan qui fait claque ; claque accélère le mouvement. - Les hirondelles : leurs mouvements sont mis en valeur par une expression comme des fusées - Jeanne court couvrir de baiser la fille de Paul. [...]
[...] - Les couleurs symbolisent la vie de Jeanne : Bonheur Ensoleillé Rouge Tragédie Ce qui ramène à la morale. Conclusion : fin ouverte, Rosalie et Jeanne se dirigent vers une autre vie dans ce climat printanier qui va être centrée sur la petite fille. Jeanne a de nouveau un être sur lequel elle peut porter son amour. Alors que le roman n'est qu'une suite de désillusion et de déception et est marquée par un profond pessimisme. La fin semble presque optimiste. [...]
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