Le récit débute in medias res. Jeanne, une jeune fille de dix-sept ans, sortie la veille du couvent, fait ses valises. Malgré le mauvais temps, Jeanne, ses parents et ses domestiques entreprennent le voyage qui les conduit à leur maison des Peuples, à la campagne. Une fois sur place, Jeanne redécouvre avec son père le château où elle a passé son enfance, la campagne qui l'entoure et le bord de mer. Durant la première nuit, Jeanne se met à rêver d'amour (...)
[...] Ils traversent des villages et de magnifiques paysages. Jeanne est une nouvelle fois tout émue. Alors qu'ils se désaltèrent à une fontaine, Jeanne a une inspiration d'amour pour Julien. Le soir, ils couchent chez un parent de leur guide qui leur raconte l'histoire de son frère, un bandit. Le lendemain, ils regagnent Bastia. Julien n'a pas d'argent pour payer le guide, et emprunte la bourse de Jeanne en prétendant qu'elle sera plus en sûreté à sa ceinture. Ils retrouvent Marseille après la traversée de plusieurs villes italiennes et s'arrêtent à Paris avant de rentrer aux Peuples pour préparer leur installation définitive. [...]
[...] Chapitre II Une vie charmante et libre commence pour Jeanne. Elle part faire des promenades en dehors du château dont elle revient heureuse. Le baron part en mer avec des marins d'Yport et la baronne fait de l'exercice à cause de sa maladie, une hypertrophie du cœur. Durant un après-midi, l'abbé du village, l'abbé Picot, rend visite à la famille. Il leur parle du vicomte Julien de Lamare, un jeune noble dont le père est mort l'année précédente. Le baron lui demande de le rencontrer. [...]
[...] Il découvre la liaison de Julien avec la comtesse de Fourville et en fait part à Jeanne, déjà au courant, qui refuse de faire quoi que ce soit. L'abbé la maudit. Plus tard, elle rencontre le compte de Fourville, l'air fou, le regard fixe. Il est au courant pour la liaison de son épouse. Il trouve sa femme avec Julien dans une roulotte au sommet d'une falaise. Fou de rage, il les entraîne dans le précipice. Julien et la comtesse son tués sous les débris. Le compte s'enfuit, et est soulagé lorsqu'il apprend que sa femme est morte. [...]
[...] Julien est outré du montant excessif de cette somme. L'homme est un rustre paysan nommé Désiré Lecoq. Les parents de Jeanne ne tardent pas à quitter les Peuples. Chapitre IX Jeanne s'est remise de son accouchement. Les époux rendent de nouveau visite aux Fourville, qui les reçoivent très bien. Ils se retrouvent souvent pour des sorties à cheval. Puis pendant les mois qui suivent, la comtesse se montre de plus en plus heureuse, tout comme Julien. Il faut peu de temps à Jeanne pour trouver Julien et la comtesse ensembles, cachés dans les bois. [...]
[...] Puis Jeanne rentre chez elle. Chapitre XIV Jeanne vit dans la monotonie et la mélancolie. Elle commence à retracer chaque étape de sa vie et reprend peu à peu goût à la vie. Un jour, elle retourne aux Peuples, ce qui la remplit de joie. Mais une lettre de son fils l'informe que sa compagne est mourante, après avoir mis au monde sa fille. Jeanne et Rosalie la recueillent et Paul leur promet de les rejoindre après l'enterrement de sa compagne. [...]
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