(...) Le lendemain : alors que chacun s'apprête à partir, on annonce que la diligence ne partira pas. Le prussien s'y oppose formellement. Le soir, devant l'insistance de l'officier, Boule de Suif excédée dévoile les intentions du prussien : il lui demande ses faveurs, mais par dignité et patriotisme, elle refuse. Tous s'indignent de l'outrage qui est fait à la jeune femme.
Cependant, le troisième jour, les voyageurs pressés de partir s'entendent pour convaincre Boule de Suif de céder aux avances de l'officier. Chacun y va de son conseil, de son argument (...)
[...] La neige ralentit la diligence, retardant leur arrivée à Tôtes, leur prochaine étape. Les passagers, qui n'ont pu se restaurer, sont affamés. Seule Boule de Suif a eu l'heureuse intuition de ramener un panier de provisions qu'elle partage volontiers. Les passagers se détendent peu à peu. Le soir, ils sont accueillis à l'Hôtel du Commerce de Tôtes où demeure un officier prussien. Pendant le souper, L'officier prussien demande à voir Boule de suif. Après l'entretien, la jeune femme, dissimilant avec peine sa colère, rejoint sa place. [...]
[...] Loiseau surprend une conversation entre Cornudet et Boule de Suif qui semble l'éconduire. Le lendemain : alors que chacun s'apprête à partir, on annonce que la diligence ne partira pas. Le prussien s'y oppose formellement. Le soir, devant l'insistance de l'officier, Boule de Suif excédée dévoile les intentions du prussien : il lui demande ses faveurs, mais par dignité et patriotisme, elle refuse. Tous s'indignent de l'outrage qui est fait à la jeune femme. Cependant, le troisième jour, les voyageurs pressés de partir s'entendent pour convaincre Boule de Suif de céder aux avances de l'officier. [...]
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