Gabriel Garcia Marquez, "Des yeux de chien bleu" : résumé

Résumé du document

Gabriel García Márquez est un écrivain colombien. Il est né en 1927 en Colombie. Il est l'ainé d'une famille nombreuse et est élevé par ses grands-parents maternels qui l'ont beaucoup inspiré pour ses romans. Il retourne vivre avec ses parents en 1939 à Sucre. Il étudie le droit à l'université de Bogota mais les cours sont interrompus à causes d'émeutes. Il commence à écrire des articles pour des journaux et s'attèle à l'écriture de romans.

[...] Le narrateur est au supplice à cause d'un bruit répétitif dans sa tête. Ce bruit a commencé quand on l'a mis dans un cercueil alors qu'il était enfant. Après sa mort, son corps continue à vivre et à grandir. Sa mère prend soin de son corps, dévoré par les souris. Il atteint sa taille adulte à 25 ans. Sa conscience est toujours là et il vit sa mort dans ce cercueil. Soudain, il se décompose et craint d'être enterré tout en étant conscient. Finalement, il se résigne à son sort.

[...] Le narrateur se réveille en sursaut après avoir rêvé de son frère jumeau, décédé. Il se rendort mais son sommeil est à nouveau perturbé par la vision de son jumeau. Bien qu'ils n'aient pas été proches, cette mort est troublante pour le narrateur : comme si une partie de lui-même était morte. Il craint un instant de se décomposer alors que le cadavre de son frère resterait intact. Sa frayeur passée, son indifférence à l'égard de son jumeau revient (...)

Extraits

[...] Gabriel García Márquez est un écrivain colombien. Il est né en 1927 en Colombie. Il est l'ainé d'une famille nombreuse et est élevé par ses grands-parents maternels qui l'ont beaucoup inspiré pour ses romans. Il retourne vivre avec ses parents en 1939 à Sucre. Il étudie le droit à l'université de Bogota mais les cours sont interrompus à causes d'émeutes. Il commence à écrire des articles pour des journaux et s'attèle à l'écriture de romans. En 1955 il continue sa carrière de journaliste dans de nombreux pays d'Europe, notamment à Paris. [...]

[...] Des yeux de chien bleu (1950). Un homme et une femme se retrouvent toutes les nuits. Ils prononcent une formule comme un signe de reconnaissance : les yeux de chien bleu Ils se retrouvent dans leurs rêves uniquement. Elle, passe son temps à le chercher dans la vie réelle et prononce partout leur formule de reconnaissance. Lui, oublie chaque jour le rêve qu'il a fait et ne se ressouvient d'elle que lorsqu'il la croise à nouveau dans son rêve. Cela fait des années qu'ils se voient en rêve et se séparent à l'aube, quand ils se réveillent. [...]

[...] Après son accident, ses patrons l'ont enfermé pendant 15 ans dans une petite pièce. Nabo n'a pas vu les 15 années passées et refuse obstinément d'entrer dans le chœur avant d'avoir trouvé le peigne à cheval qui a causé son accident. Il sort de la pièce où il est enfermé, et part à sa recherche. La petite attardée le reconnaît et dit son nom, le seul mot qu'elle ait jamais prononcé. L'inconnu qui déplaçait des roses (1952). Un enfant - mort - est dans une tombe. [...]

[...] Ils sont aveugles : leurs yeux ont été crevés par des butors. Ils avancent à tâtons et un enfant refuse de les raccompagner chez eux. Cela fait trois jours qu'ils errent, perdus. Monologue d'Isabel regardant la pluie sur Macondo (1955). La narratrice et sa belle-mère contemplent la pluie qui ne s'arrête plus de tomber depuis quatre jours. Les bienfaits de la pluie finissent par devenir un élément de destruction. La population regrette le soleil et la chaleur harassante. La pluie dure cinq mois, ce qui rend les personnages tristes et les plonge dans la torpeur. [...]

[...] II - Le résumé du recueil de nouvelles Des yeux de chien bleu. La troisième résignation (1947). Le narrateur est au supplice à cause d'un bruit répétitif dans sa tête. Ce bruit a commencé quand on l'a mis dans un cercueil alors qu'il était enfant. Après sa mort, son corps continue à vivre et à grandir. Sa mère prend soin de son corps, dévoré par les souris. Il atteint sa taille adulte à 25 ans. Sa conscience est toujours là et il vit sa mort dans ce cercueil. [...]