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Marie de Mézières et Henri, le Duc de Guise, s'aiment d'un amour passionné. Mais son père l'oblige à épouser le Prince de Montpensier, un mariage de convenance, qui est ensuite appelé à la guerre, laissant la Princesse loin du monde, au château de Champigny, où elle réside avec son précepteur, le Comte de Chabannes. Elle se lie d'amitié avec lui et il en devient même son confident. Mais celui-ci se prend d'amour pour elle, malgré qu'il soit le meilleur ami de son mari, et se trouve obligé de lui avouer ne supportant plus de le contenir en lui. La guerre éclate contre les huguenots et la princesse de Montpensier retrouve sur son chemin le duc de Guise, combattant auprès du duc d'Anjou, qui se trouve être le frère du roi Charles IX. Ils s'arrêtent de passage à Champigny. A son tour, le duc d'Anjou tombe sous le charme de Marie et espère la réciprocité des sentiments.
Les retrouvailles entre les deux anciens amoureux réveillent les passions et les tentations et emmènent une rivalité entre tous, la jalousie d'un mari furieux et haïssant le Duc de Guise, et plus tard l'infidélité. La Princesse est finalement aidée par le comte de Chabannes pour voir son bien-aimé Henri et s'en suit une nuit d'amour.
Marie de Montpensier rêve un avenir avec le Duc de Guise, même étant averti par le comte de Chabannes que l'amour d'Henri aurait peut-être changé. Le comte s'étant fait rejeté par le Prince, il part et se trouvant au milieu d'une tuerie, il décide de sauver une femme enceinte se faisant attaquer (cela lui rappelle ce qu'il a fait et qu'il regrette). Il perd sa vie et est retrouvé après par le Prince où il trouve une lettre écrite pour Marie.
La Princesse, elle, avait décidé de rejoindre le Duc de Guise en ayant fait le choix de perdre son mari. Une fois arrivée, elle se rend compte que l'amour et la passion ne sont plus réciproques et qu'Henri avait déjà obtenu ce qu'il voulait d'elle, ainsi le comte de Chabannes avait raison (...)
[...] Il perd sa vie et est retrouvé après par le Prince où il trouve une lettre écrite pour Marie. La Princesse, elle, avait décidé de rejoindre le Duc de Guise en ayant fait le choix de perdre son mari. Une fois arrivée, elle se rend compte que l'amour et la passion ne sont plus réciproques et qu'Henri avait déjà obtenu ce qu'il voulait d'elle, ainsi le comte de Chabannes avait raison. Elle se retrouve seule, ayant perdu son ami le plus proche, ce fameux comte et confident dont elle n'a pas suivi les sages conseils. [...]
[...] _ " Ce fut le coup mortel pour sa vie. Elle ne put résister à la douleur d'avoir perdu l'estime de son mari, le cœur de son amant et le plus parfait ami qui fut jamais." Dans cette citation, l'énumération insiste sur l'accumulation de tous ces faits qui provoque une douleur profonde chez la princesse. Elle transperce le lecteur au cœur, aidée par son début puisque le « coup mortel » le plonge dans un grade de tragédie supérieur. _ Mais la phrase qui suit la précédente citation est encore plus profonde et prolonge le voyage du lecteur dans un grade encore plus élevé. [...]
[...] Mais son père la force à épouser le Prince de Montpensier. Ce dernier est appelé par Charles IX à joindre les princes dans leur guerre contre le protestantisme, et laisse Marie loin et seule en compagnie de son précepteur, le Comte de Chabannes qui s'avère être un ami de l'époux de la Princesse, au château de Champigny. Elle essaie en vain d'oublier son amour intense et sa passion pour Guise. Elle se trouve être l'objet de tentations et de passions rivales et même brutales. [...]
[...] Peut-être faudrait-il faire le contraire ? Puisque la première impression que j'ai eue était presque de lire un résumé du film, parfaitement exécuté. Ce qui m'a dérangé, en réalité, est que les évènements que j'avais vus et qui avaient duré, je les ai lus en une fraction de seconde. Mais une fois réfléchit, ceci était normal puisque dans une nouvelle il faut de la brièveté. Pour conclure : un grand film adapté d'un grand livre. Une œuvre classique mais résolument moderne. [...]
[...] Son style peu anodin le distingue et provoque une attention particulière à son égard. ▪ Le Comte de Chabannes est le précepteur de La Princesse. Le Prince l'a protégé et il est son grand ami. Dans le langage d'époque, Madame de Lafayette écrit : « Le prince de Montpensier, dans sa plus tendre jeunesse, avait fait une amitié très particulière avec le comte de Chabannes, qui était un homme d'un âge plus avancé que lui et d'un mérite extraordinaire ». [...]
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