“Le prince”, écrit par Machiavel, en 1515, est un discours ainsi du gouvernement des princes, sans discourir des républiques ce dont Machiavel a traité auparavant, il s`attarde dans cet ouvrage sur les principautés. Machiavel a été considéré, si nécessaire, immoral et amoral, si loyal et républicain, bien et mal intentionné. Cependant, Machiavel est resté dans l'histoire un exemple classique de la pensée diabolique. En fait, le secrétaire florentin était loin de l'image qui serait pu reconstruire sur la base des croyances communes à son sujet. Aujourd'hui la machiavélique et le machiavélisme sont devenus des mots lourds, qui sont compris dans les racines de ce qu`est damnable, indépendamment de l'acceptation ou le rejet de relations politiques avec la morale. Machiavel incite le Prince à créer les conditions de la république: il faut lutter contre les puissants, protéger les humbles, armer le peuple et non s'armer contre lui.
[...] Ibidem 2. Ibidem 1. Ibidem 2. Ibidem 2. Ibidem 1. Ibidem 2. [...]
[...] Donc Dick Morris même que s`il fait quelques observations qui se réfèrent à des batailles politiques avant le XXe siècle, la plupart des événements ont une visée au XXIe siècle, ce qui donne à son œuvre le statut de ”Machiavel au XXI siècle”. Je finisse ici par les vers de Pétrarque :”Virtù contra furore/Prenderà l'arme, e fia'l combatter corto;/Che l'antico valore/Negl'italici cor non è ancor morto. ”Noul Principe - Machiavelli in secolul al XXI-lea Morris, Editura: Ziua, Anul aparitiei:2003. Prince et autres textes , Nicolas Machiavel, Paris : Union générale d'Éditions pages. Ibidem 1. [...]
[...] Il croit que celui qui tienne compte de ses électeurs sans diriger eux est ”opportuniste”! (p. 89) Machiavel dit aussi ”comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation”[6](p.84). Selon lui c`est mieux qu` prince qui se montre franchement ami ou ennemi, c'est-à-dire qui sait se déclarer ouvertement et sans réserve pour ou contre quelqu'un ; ce qui est toujours un parti plus utile à prendre que de demeurer neutre”[7]. Aussi Dick Morris considère que chef d`un parti qui fait appel seulement à son parti est comme un boiteux. [...]
[...] Cependant, Machiavel est resté dans l'histoire un exemple classique de la pensée diabolique. En fait, le secrétaire florentin était loin de l'image qui serait pu reconstruire sur la base des croyances communes à son sujet. Aujourd'hui la machiavélique et le machiavélisme sont devenus des mots lourds, qui sont compris dans les racines de ce qu`est damnable, indépendamment de l'acceptation ou le rejet de relations politiques avec la morale. Machiavel incite le Prince à créer les conditions de la république: il faut lutter contre les puissants, protéger les humbles, armer le peuple et non s'armer contre lui. [...]
[...] Mais, tant au niveau du discours et les situations de niveau instrumentales sont différents. Dans le discours, Dick Morris choisit le chemin d'accès insincère, parlant des électeurs raffinés inscrits et des dirigeants en mesure de présenter certaines mesure, tandis que Machiavel parle pour la foule qui peut être ”engagement respecté et stupéfiante et le dirigeant qui a besoin de la ”virtus et fortuna”[4]. Dans son œuvre, Machiavel dit que tout prince doit grandement souhaiter d'être estimé pitoyable et non pas cruel. [...]
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