La liste de mes envies, Grégoire Delacourt, L'écrivain de la famille, solitude, naïveté amoureuse, naïveté, Quelle Belle Journée, réalisme, roman réaliste, parallèle avec la réalité, Point de vue interne, trahison, amour, argent, bonheur, populace, mensonge, solitude du parent, champ lexical
Jocelyne est la narratrice, elle mène une vie simple, fait partie de la classe moyenne. Elle se croit un peu ronde et est tenancière d'une mercerie à Arras où elle habite d'ailleurs. Elle a marié un ouvrier de l'usine de glaces Häagen-Dazs de la ville, il se nomme Jocelyn. Il est son premier et unique amour. Ensemble, ils sont parents de deux grands enfants partis faire leur vie et d'un ange mort en venant au monde.
[...] Personnages Je vais présenter les personnages afin que vous puissiez comprendre le résumé Jocelyne : héroïne (ou anti), mercière à Arras, elle se trouve un peu grosse Jocelyn : le mari de Jocelyne, travaille à l'usine, boit des bières (sans alcool) Nadine et Romain : les enfants du couple qui ont 25-23 ans, partis de la maison familiale Nadège : le dernier enfant . Papa : le papa de Jocelyne, est atteint d'Alzheimer depuis un accident (Maman, pas un personnage) Les jumelles : Voisine de boutique de Jocelyne ans célibataires endurcies, elles jouent à la loterie Résumé : Petit résumé : Jocelyne est la narratrice, elle mène une vie simple, fait partie de la classe moyenne. Elle se croit un peu ronde et est tenancière d'une mercerie à Arras où elle habite d'ailleurs. [...]
[...] J'aimerais essayer de transmettre l'impression que j'ai eue en parcourant ce livre. En imageant, l'écrivain a été comme un guide. C'est quelqu'un qui nous emmène, il connait très bien le terrain et sait où il va. Le temps d'un livre, on se laisse le suivre et ce n'est qu'en le refermant qu'on se rend compte si c'était un bon, un excellent ou un mauvais guide. En l'occurrence, il savait très bien où il se dirigeait car tous les petits détails qui nous semblent insignifiants (et là est d'ailleurs la beauté de la chose) prennent tour à tour sens. [...]
[...] Une nouvelle télévision. Pleins de choses nouvelles. Mais rien de différent ». Et la toute dernière phrase du texte du livre avant les commentaires du blog, qui est : « Je suis aimée. Mais je n'aime plus. » Une phrase si simple mais qui veut tellement dire. Pour moi, c'est également une des plus profondes pensées de ce roman. [...]
[...] LECTURE METHODIQUE Je vais passer dessus quelques éléments essentiels du plan, car je l'ai déjà dit Introduction : Annoncer le plan -Texte : Extrait du Roman La Liste de mes envies, Nice en hiver p161-162 -Auteur : Grégoire Delacourt -Courant littéraire : réalisme -Les 2 axes sont : Le froid et la solitude du parent -Je finirai par conclure mon analyse Présentation : Je ne vais pas donner plus de détails déjà assez parlé -Le roman -l'auteur -Le réalisme met en scène des faits quotidiens. Le héros du récit réaliste est un personnage banal, le lecteur le sent proche de lui-même. Les écrivains réalistes refusent l'exceptionnel pour donner l'illusion de la réalité. Ils font usage de citation de noms réels, description minutieuse du cadre de l'action. -Explication de l'histoire -Situation de l'extrait : Vers la fin du livre, page 161-162 sur 179. [...]
[...] Car il illustre le style Delacourt et donne un exemple concret avec beaucoup de figure de style. Elargissement de la perspective : Comme déjà mentionné ce problème on peut tous le vivre. Il est vrai qu'à un moment donné il est difficile de concilier vie professionnelle, famille et amis en prenant le temps d'aller voir nos parents. Question de réflexion : Surtout si ceux-ci habitent à plusieurs heures de route. Et vous ? Comment pensez-vous gérer ça plus tard dans votre vie ? [...]
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