Sciences humaines et arts, La ligne verte, Stephen King, couloir de la mort, Paul Edgecombe, pénitencier de Cold Mountain
Le roman se passe dans les années 1930. Le personnage principal, Paul Edgecombe, est responsable de ce que l'on appelle « le couloir de la mort » c'est-à-dire qu'il est responsable de l'unité des détenus condamnés à mort dans la prison.
S. King a voulu ainsi établir une réflexion chez le lecteur sur la peine de mort. Son roman a reçu le prix Bram Strocker en 1996.
Paul Edgecombe raconte en fait son histoire maintenant qu'il est centenaire. Il raconte son quotidien dans le pénitencier de Cold Mountain, où le couloir de la mort est surnommé « la ligne verte ». Profondément humaniste avec son équipe, il tente d'apporter le plus d'humanité possible dans la vie des détenus.
[...] Paul mène l'enquête et découvre peu à peu que Caffey est innocent dans l'affaire de l'assassinat des fillettes. Caffey tentait juste de les ramener à la vie quand il a été pris sur le fait et a été accusé à cause de sa couleur de peau. Paul veut le faire évader mais Caffey leur dit qu'il préfère mourir car il est fatigué de devoir supporter le monde dans lequel il vit. Peu après l'exécution de Caffey Paul et son équipe démissionnent. [...]
[...] Son roman a reçu le prix Bram Strocker en 1996. Paul Edgecombe raconte en fait son histoire maintenant qu'il est centenaire. Il raconte son quotidien dans le pénitencier de Cold Mountain, où le couloir de la mort est surnommé la ligne verte profondément humaniste avec son équipe, il tente d'apporter le plus d'humanité possible dans la vie des détenus. Mais un nouveau gardien, Percy Wetmore, vient semer la panique dans cette équipe car il adore harceler les prisonniers. Un détenu étrange fait alors son entrée. [...]
[...] LA LIGNE VERTE STEPHEN KING L'AUTEUR Stephen King a publié son premier roman en 1974. C'est un écrivain américain d'horreur né le 21 Septembre 1947 à Portland. Il a publié plus de 50 romans dans le fantastique, la fantasy, la science fiction et le roman policier et plus de 200 nouvelles, dont la plupart ont été regroupé dans ses neufs recueils. Il a souvent été critiqué pour son style familier, son amour du gore, et la longueur jugée excessive de ses romans. [...]
[...] Paul accepte le marché avec joie mais Percy va le trahir en oubliant volontairement de mettre l'éponge mouillé conductrice de courant le jour de l'exécution. Delacroix meurt ainsi dans d'atroces souffrances. Paul décide alors de droguer Wharton avec son équipe et d'enfermer Percy. Ils font libérer Caffey pour le mener à la femme du directeur de la prison, Mélinda Moores, qui souffre d'une tumeur au cerveau. Il la soigne mais il absorbe sa maladie qui commence à le détruire peu à peu. [...]
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